1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... slip afin de libérer l’homme de ces entraves. Je la regarde. Je suis fier, même si le terrain était favorable, en jachère mais prêt à libérer toute sa puissance à la moindre sollicitation. Je la regarde et je la vois. Je l’accompagne par la pensée alors qu’elle gobe la queue de son mari, lui arrachant des gémissements. Ma bite est bien trop longue pour cela mais celle du mari doit lui paraître une friandise abordable et qui trouve le chemin de sa gorge. Est-ce qu’elle se rend compte que c’est un regard de salope accomplie qu’elle offre à Jean alors que ses lèvres butent sur les couilles ? Elle est belle. Elle le suce. Elle le pompe. J’entends avec délice le bruit de cette salive généreuse qu’elle libère pour envelopper mandrin et gland d’une gangue perverse. Mais Jean, excité depuis un long moment, ne peut se retenir ; et lorsqu’il jouit, c’est une délivrance. Il la regarde, encore étonné de voir cette épouse si coincée aspirer son jus, sa crème en préparation depuis qu’il jouait les voyeurs. Mais Véronique n’en a pas fini avec lui. De quelques coups de langues vicieux et d’un doigt qui manifestement trouve le chemin du cul de Jean, relançant une érection bienvenue, elle se retrouve avec une bite neuve. Elle se relève et, l’enjambant avec grâce, vient s’empaler sur la bite maritale. Ils sont face à face. Mais les masques sont tombés. La femme adultère devenue addict du cul, et le mari cocu, mais si content de son état qu’il en bande de plaisir. Elle ondule comme elle sait si ...
    ... bien le faire. Il y a peu, c’est sur mon dard qu’elle se baisait. Elle est belle. Ils sont beaux dans cette posture si parlante. Elle le domine. Elle s’est donnée à son amant, et maintenant cela lui paraît naturel de chevaucher son mari. Je sens mon mandrin revivre. Leur spectacle m’excite et je bande. Ma tige sombre encore alourdie de son propre poids se redresse pour se montrer horizontalement dans toute sa splendeur. Je suis à quelques pas d’eux, mais l’homme me voit ainsi. D’un geste que sa femme ne voit pas, il me fait signe d’approcher. — Chérie, regarde. Elle ouvre les yeux. Je sens une main appuyer sur ma hanche afin de m’encourager à tourner. C’est la même main qui pousse ma fesse pour m’inciter à avancer encore, amenant mon gland à portée des lèvres qu’il connaît bien. — Suce-le. Regarde comme elle est belle. C’est un homme qui me complimente, et si ce n’était pour faire cette offre à sa femme, je penserais que la main sur mes fesses s’attarde bien longuement alors que déjà Véronique s’est penchée pour me gober. Pour un cocu, je trouve ce Jean bien à l’aise dans son rôle, comme s’il l’avait déjà répété. Sa femme se dandine sur lui et il a sous les yeux le plus provoquant des spectacles par cette fellation gourmande. La main me tire en arrière. Me voici libéré du fourreau précieux et chaud. — Viens, chérie, dit l’homme en attirant sa femme sur lui. La cavalière s’allonge sur lui. Il la cajole de ses bras mais son regard me fixe et semble vouloir me parler. Ses yeux ...