1. Paris pour un cadenas de moins


    Datte: 19/09/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, noculotte, Masturbation Oral 69, pénétratio, hdanus, jeu, attache, yeuxbandés, portrait,

    ... Il s’active pendant que je courbe ma langue pour le caresser à l’intérieur de ma bouche. Il s’enfonce et ressort jusqu’au bord de mes lèvres puis replonge à nouveau. Je réclame son jus, mais je veux qu’il me donne son explosion sur mes seins pour en apprécier la quantité et la puissance du jet. J’accompagne sa jouissance de quelques mouvements de main, puis j’étale son cadeau sur ma poitrine avant que les dernières gouttes soient entraînées par l’eau de la douche. Ensuite, sur le large plan de travail servant de table qui sépare le salon de la cuisine, nous faisons festin de plaisir dans un soixante-neuf gourmand et nous nous gavons du bonheur de faire l’amour ainsi avec un même élan, une osmose totale. Je jouis à force de lèches et mon orgasme me fait hurler. Puis c’est à son tour. Il jouit dans ma bouche. J’avale tout : je suis fan car son goût n’est pas salé. Nous allons ensuite nous reposer, allongés sur le canapé. Nous rejoignons sa chambre vers minuit, après une de nos poses pour boire et nous restaurer, afin aussi de reprendre notre souffle et retrouver de l’énergie. C’est ce moment que je choisis pour envoyer un texto à mon mari, auquel il répond aussitôt : Je raccroche et coupe mon portable. Dans les bras de Nicolas, je pleure quelques larmes. Il les boit avec douceur, en murmurant qu’il me comprend. Il caresse longuement ma chevelure jusqu’à ce que je m’apaise, puis il dépose de tendres baisers sur mon cou, sur ma gorge, mes épaules et mes seins. J’extériorise ma ...
    ... peine d’un côté et mon envie de bonheur charnel de l’autre, et je me retrouve à nouveau en femme ardente, passionnée même sans amour. Nous reprenons la fête des sens en amante et amant d’une nuit. Il a, lui aussi, ses petites surprises. Il se crispe, lorsqu’après avoir salivé abondamment sur mon index sans qu’il le voie, je lui glisse mon doigt entre ses fesses. Je prends la virginité de son beau petit cul. Nicolas reste quelques instants sans bouger, le temps d’accepter ma pénétration, jusqu’à ce qu’il se détende. Puis je l’excite avec des mouvements doux. Il n’en revient pas d’avoir apprécié ce geste que l’on réserve plus souvent à une femme. Nous vivons bien d’autres choses torrides et impudiques, ardemment appréciées par nous deux, donnant et recevant l’un de l’autre. Pas un partage du plaisir, mais sa multiplication. Jusqu’au matin, le ventre douloureux et tordu de ne plus rien donner, vidé jusqu’à l’épuisement de sa substance vitale, il ne cesse de me caresser. Je n’en peux plus et je crie grâce. Je ne trouve pas les mots pour expliquer à quel point nous avons divagué vers des plaisirs extrêmes et ce que nous avons vécu de plus intime ; je veux le garder au secret. Pendant que je me rhabille dans la chambre, une forme de gêne monte en moi. Je le vois juste dans l’axe de la porte et le sens un peu mal à l’aise lui aussi. Dans le silence le plus total, il sort ma culotte de sa poche de manteau et la place sur la petite table du salon. Il met juste à côté un petit carton. Je ...
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