1. Paris pour un cadenas de moins


    Datte: 19/09/2017, Catégories: fh, extracon, inconnu, noculotte, Masturbation Oral 69, pénétratio, hdanus, jeu, attache, yeuxbandés, portrait,

    ... et mes sens sont exacerbés. À aucun moment je ne le touche, mais je suis troublée par cette idée. Je ne compte pas en rester là et espère prendre moi aussi du plaisir à goûter sa peau et son sexe pour le prochain jeu. — Mange ! me dit-il. Je reçois dans la bouche le morceau de gâteau qu’il a mouillé en caressant ma vulve. Je m’en délecte ; il s’est déjà ramolli. Je n’hésite pas longtemps avant de me décider à lui demander un petit extra : — Le prochain morceau, tu le laisseras fondre entre mes petites lèvres, puis tu iras le chercher avec ta langue et tu l’étaleras dans mon minou avant de le manger. Tu veux ? Je suis servie au-delà de mon espérance, et le repas me contente par la richesse des sensations ; mais nullement rassasiée pour autant, je demande d’autres jeux. — Buvons tout d’abord, me dit-il. Avec le seul regret d’enlever de ma bouche le goût de ta liqueur abondante mélangée aux biscuits. Il m’enlève le bandeau, puis libère mes poignets. Il me déshabille entièrement et me demande de lui enlever tous ses vêtements. Nous sommes nus mais je n’éprouve aucune gêne. Je refais surface doucement tandis qu’il s’assoit et me cale contre son torse. Je lui fais part de mon ravissement. Nous buvons tranquillement le thé qui s’est déjà refroidi. Il aime me sentir chaude ; mais dans quelques minutes, il me promet de devenir brûlante. Aussitôt annoncé, il me fait glisser par terre et me place à genoux face au canapé, accoudée sur l’assise. Il s’accroche à mes hanches et me prend en ...
    ... levrette. Pas besoin de gel, ni de salive : il s’est enfoncé d’un coup de rein, me faisant crier de plaisir. Il est bien membré, mais pas trop ; juste comme j’aime, pour apprécier les veinures gonflées de sang de son pieu le long de mon antre. Les va-et-vient me chauffent littéralement par leur intensité. Très vite, il me fait pivoter légèrement et me demande de poser mes mains à terre, bras tendus. Je me cambre, et je vais au-devant de son bâton. Du chêne, il est tellement dur ! Il se retient de jouir pour me satisfaire plus longtemps. Nous faisons l’amour avec une immense intensité et je défaille plus d’une fois dans des spasmes orgasmiques. Il palpite en moi, et dès que nous changeons de position je deviens exaltée, gémissante, criant de plaisir, murmurant le souffle court des« encore, encore ! ». Banal, certainement. Mes caresses sont tantôt délicates et sensuelles, tantôt vives et ardentes. Il découvre ma fougue ; je me réjouis de son inventivité. Mon imagination n’est pas en reste et nous prenons tous deux des objets là où nous passons pour continuer nos jeux amoureux. Pas besoin de dire lesquels, cela ne rajoute rien au plaisir. La salle de bain reçoit notre visite, et nous faisons couler l’eau de la douche en pluie fine. Le bac est suffisamment grand pour que je puisse me mettre à genoux en face de Nicolas. Je prends sa verge dans ma main pour lui donner forme puis, de ma bouche, je gobe le gland turgescent avant d’engloutir jusqu’au fond de ma gorge la verge tendue. ...