1. L'amour est une catastrophe magnifique


    Datte: 02/02/2020, Catégories: f, fh, fhh, extracon, copains, fépilée, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe théatre, amourcach,

    ... l’aimes encore ? C’est ça ? Après tout ce qu’elle t’a fait ! Tu l’aimes encore ? LOUIS-OLIVIER : Non ! ANTOINE : Menteur ! Je le vois bien à ta façon de vouloir la protéger. De tout. De tous. Y compris de toi ! Tu l’aimes encore ? CAMÉLIA : Arrête, Antoine ! Il ne m’aime plus ! ANTOINE : Alors que faisiez-vous à cette heure tardive de la nuit ? CAMÉLIA : On baisait, c’est tout. ANTOINE : C’est tout ? CAMÉLIA : Oui. J’avais juste une envie de baiser, sauvage et éphémère. ANTOINE : Je ne te crois pas. Toi, la vierge effarouchée ? Toi la pudibonde ? Toi la puritaine ? CAMÉLIA : Et alors ? En dix ans, j’ai pu changer, non ? ANTOINE : Eh bien prouve-le ! Si c’est du sexe que tu es venue chercher, tu vas en trouver ! Il commence à déboutonner son pantalon. CAMÉLIA : C’est un défi ? ANTOINE : Non, une vérification par l’expérience. Tu es une scientifique. Tu dois savoir de quoi je parle. La jeune femme se lève et fait face à Antoine. Elle le regarde à son tour pleine de défi. Elle respire amplement et bruyamment. Antoine la fixe, le regard dur. ANTOINE : Tu n’en es pas capable. Camélia s’agenouille subitement. D’un geste sec, elle descend le pantalon d’Antoine à ses chevilles, révélant un caleçon bosselé d’où un sexe tendu s’apprête à sortir comme un diable de sa boîte. Brutalement et sans prélude, Camélia baisse le caleçon, empoigne la verge et commence à la lécher voracement, puis l’engloutit jusqu’à la garde. Antoine impose le rythme des va-et-vient en lui tenant fermement la ...
    ... tête de ses deux mains. LOUIS-OLIVIER : Camélia, je t’en prie, arrête ! Ne fais pas ça, tu n’as rien à prouver. Ni à lui, ni à personne, d’ailleurs ! Camélia s’interrompt, sa main prenant le relais de sa bouche. Antoine est manifestement dans un autre monde. CAMÉLIA : Ne t’inquiète pas, Louis-Olivier, ce n’est qu’une baise. Une de plus à mon compteur. Tout va bien. Elle reprend sa besogne. Louis-Olivier s’agenouille derrière elle, tente de l’arracher à Antoine, visiblement absent. Camélia résiste et empoigne fermement les hanches d’Antoine, redoublant la cadence. Louis-Olivier prend Camélia par la taille, l’embrasse dans le cou, lui caresse les bras, la poitrine. LOUIS-OLIVIER : Tu te fais du mal, ne fais pas ça. Camélia s’interrompt brutalement, se libère de l’emprise de son ami, se lève et se retourne. Des flammes brûlent dans ses yeux. Elle parait habitée par le démon. Elle attrape Louis-Olivier par le col de son tee-shirt, le forçant à se relever, fait sauter les boutons de son pantalon, le descend en même temps que son caleçon et de ses deux mains le plaque sur le canapé-lit. D’un geste vif et précis, elle ôte son shorty de dentelle noire et s’empale sur le vit dressé. LOUIS-OLIVIER : Aaargh ! Tu me fais mal ! CAMÉLIA : Tu vas faire la différence entre baiser et faire l’amour ! LOUIS-OLIVIER : Ne parle pas comme ça, ne me regarde pas comme ça, tu m’excites, tu es le diable incarné ! CAMÉLIA : Antoine, qu’est-ce que tu attends ? Antoine reprenant peu à peu ses esprits sort ...
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