1. L'amour est une catastrophe magnifique


    Datte: 02/02/2020, Catégories: f, fh, fhh, extracon, copains, fépilée, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe théatre, amourcach,

    ... de sa léthargie. Il observe Camélia complètement en transe, allongée sur Louis-Olivier et menant la danse, la rythmant de violents coups de reins. Il s’approche, lui caressant les fesses, puis se poste à l’extrémité du canapé, tenant fermement les hanches de la jeune femme, avant de la pénétrer à son tour d’un coup sec.Les trois jeunes gens poussent un long râle simultané. CAMÉLIA : Ah ce que c’est bon ! LOUIS-OLIVIER : Camélia, calme toi, vas-y doucement, je vais exploser ! ANTOINE : Mais tu es une sacrée petite salope, toi ? CAMÉLIA : Aaah ! LOUIS-OLIVIER : Hum ! ANTOINE : Oh oh oh… Camélia pousse un cri violent, sonore, animal, elle crie sa jouissance sans retenue. Les deux hommes stimulés par l’orgasme de la jeune femme, jouissent à leur tour, émettant des sons emprunts de la même bestialité. Antoine reprend ses esprits le premier, se retire des fondements de Camélia, se rhabille, se dirige vers la porte qu’il ouvre, et dans l’entrebâillement, se retourne pour jeter un dernier regard à ses amis d’enfance. ANTOINE,sur un ton neutre, sans émotions : Hypothèse validée : une vraie petite pute. Louis-Olivier, je ne pensais vraiment pas que tu serais capable de descendre aussi bas. Il sort en claquant la porte. Acte III, Scène 1 Camélia est couchée de tout son long sur Louis-Olivier, la tête sur son torse, une main dans la sienne, l’autre sur son épaule. LOUIS-OLIVIER,déboussolé : Pourquoi as-tu fais ça ? CAMÉLIA : … LOUIS-OLIVIER,lui caressant les cheveux : Tu t’es fait du ...
    ... mal… CAMÉLIA,froide et cynique : On s’en est débarrassé, non ? LOUIS-OLIVIER,plein de douceur dans la voix : Il y avait d’autres moyens. CAMÉLIA,aigre : Maintenant, à moi de débarrasser le plancher. Elle entreprend de se lever pour quitter l’appartement mais Louis-Olivier la serre fermement contre lui. LOUIS-OLIVIER : Reste ! CAMÉLIA,froide : Tu as eu deux baises pour le prix d’une ! Je m’en vais maintenant ! LOUIS-OLIVIER,plein d’empathie : Ne parle pas comme ça, s’il te plait ! CAMÉLIA,élevant la voix : Ce sont tes mots. LOUIS-OLIVIER : Je ne pensais pas ce que je disais. J’avais peur que tu te transformes en midinette, que tu me dises que tu étais amoureuse de moi, et que tu aies l’idée stupide de quitter ton mari. CAMÉLIA,cynique : Au lieu de ça, je me suis transformée en pute, tu as gagné au change. Elle s’extirpe des bras de Louis-Olivier, attrape son shorty, l’enfile pudiquement derrière le mini-bar de la cuisine. Le jeune homme se relève, la rejoint et l’enserre par la taille. Il l’embrasse dans le cou. LOUIS-OLIVIER : Pardon ! Excuse-moi. J’essaye par tous les moyens de t’éloigner de moi. Mais j’ai l’impression que plus je suis ignoble avec toi et plus tu m’adules. CAMÉLIA : Ce n’est pas ça. C’est juste que je ne suis pas dupe. À travers ton cynisme et ta vie d’ermite, je vois tout le bonheur potentiel que tu portes en toi. Je voudrais juste t’en convaincre. LOUIS-OLIVIER : Non, tu te trompes. Il n’y a que dans tes yeux que je suis humain. Il n’y a que dans tes yeux que ...