J'aimerais du changement
Datte: 04/02/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
extracon,
inconnu,
essayage,
volupté,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
... pieds et j’ai posé ma bouche sur la sienne ! Je ne parviens toujours pas à m’expliquer un geste aussi irréfléchi, mais dire que je le regrette serait pure hypocrisie. Et d’ailleurs il m’a enlacée et m’a rendu mon baiser au centuple. Au début, ses deux grandes mains m’enserraient la taille et semblaient goûter la flexion passionnée de mon corps, puis l’une est partie vers la nuque en une longue caresse de mon dos et l’autre s’est arrêtée sous mes fesses qu’elle palpait de façon bien cavalière, me suis-je dit. Je me suis dégagée, avec un peu trop de brusquerie sans doute, j’avais les joues en feu et un chat dans la gorge. Sans un mot, j’ai pris sa main et l’ai entraîné vers le canapé du salon. J’étais décidée à me laisser faire ; à nouveau, j’avais dix-huit ans et je me laissais aller dans des bras masculins, comme une rosière. J’avais complètement perdu la tête. Mais je n’ai plus dix-huit ans, et lui les avait tout juste ; il fallut bien me rendre à l’évidence : il ne savait pas vraiment comment ça fonctionne, une femme. Sans doute n’étais-je pas la première, mais il faut croire que les autres n’étaient pas pédagogues. J’ai dû guider ses gestes, plus ou moins. Il avait bien soulevé mon tee-shirt, mais cherchait maladroitement comment m’ôter mon soutien-gorge. Je lui fis comprendre que ce n’était pas le plus urgent, en amenant sa main dans ma culotte. Il ne savait pas faire, mais comprenait très vite, n’y mettant aucune sorte de fierté stupide, tout d’humilité mais aussi de ...
... bonne volonté. Je le laissai explorer ma vulve, ce qu’il fit avec délicatesse, puis je dus lui enseigner à amener un peu de mon sirop intime vers le petit bouton sensible qui est à l’entrée, en haut, vous voyez ? Pendant qu’il me prodiguait ainsi un doux massage, je glissai ma main droite dans le dos et me débarrassai de mon soutien-gorge. Ainsi, il avait l’accès libre à mes seins et, sans cesser de dorloter mon petit bijou, il pencha la tête pour saisir un téton entre ses lèvres, me le lécher, me le pincer doucement, passer à l’autre, puis revenir au premier comme s’il le préférait ! Quel amour ! Il avait la situation bien en main ; je pouvais maintenant me laisser aller, ce que je fis… Et j’explosai soudain dans un râle qui le surprit ; il m’a avoué que c’était la première fois qu’il voyait une femme atteindre l’orgasme, et qu’il en fut un peu effrayé. Je l’ai remercié avec un long baiser, puis lui murmurai : — Mon petit Nicolas, s’il vous plaît, pourrions-nous en rester là ? Il était trop ému pour me parler, il acquiesça en battant des cils. Je ne savais trop comment j’allais le récompenser, mais j’y étais bien décidée, considérant que ne rien faire pour lui eut été trop égoïste de ma part. J’étais prise au piège, ne pouvant admettre l’idée que j’allais tromper mon mari, et trop pudique pour lui proposer une gâterie. Je me suis rajustée, j’avais les joues en feu, nous nous sommes levés pour poursuivre la visite… J’avais moins honte d’avoir provoqué ces caresses que de laisser ...