1. Fucking my blues away


    Datte: 06/02/2020, Catégories: hh, hplusag, jeunes, inconnu, voisins, sport, amour, hsoumis, Oral préservati, hdanus, hsodo,

    ... blonds clairs étaient certainement le fruit d’un entraînement consciencieux. "Tu cours souvent ?" lui ai-je demandé alors que nous marchions pour revenir à notre point de départ. "Je fais du foot le samedi après-midi" m’a-t-il répondu. "Tu as joué hier ? Tu tiens vraiment la forme !". "Non, je n’ai pas joué hier, je me réservais pour aujourd’hui !". "Ah ! tu joues cet après-midi ?" Nous étions arrivé devant mon immeuble. "Ca dépend de toi si on joue cet après-midi". Comme un con, je n’ai pas compris tout de suite. Il avait rougi brusquement en entrant dans le hall de l’immeuble derrière moi, regardant ses pieds. Il ressemblait souvent à un petit garçon qui va faire une bêtise. Quand j’ai compris, j’ai commencer à bander comme un salaud. Je lui ai dit "Troisième étage" et il a répondu "Je sais, j’habite en face". Je me suis dit qu’on ne s’était pas rencontrés par hasard, et puis aussi que j’aurais peut-être du tenter quelque chose, depuis plus d’un an qu’on se matait comme ça le matin. Une fois entrés dans mon appartement, j’ai été tirer les rideaux. Quand je me suis retourné, il était debout, face à moi, complètement nu. La beauté de son corps m’a frappé en plein visage comme une vague de chaleur. J’ai arraché mes runnings, enlevé mon tee-shirt et mon short que marquant une tache de liquide séminal. "Viens dans ma chambre" lui ai-je dit. Il m’a suivi sans un mot. Il est monté sur le lit et a enfoui son visage dans les oreillers, me tendant son cul en cambrant le dos, comme un ...
    ... appel muet. Je me suis agenouillé au bord du lit et j’ai commencé à lécher. La raie de son cul était salée par la sueur de notre jogging et délivrait à mes papilles la saveur de son fion rose et plissé, imberbe. J’ai gobé ses burnes qui pendaient entre ses cuisses, puis j’ai léché sa belle bite en la ramenant vers l’arrière. Dans l’oreiller, il gémissait doucement, avançant son cul dans ma direction. Ma bite était sur le point d’éclater et je soulageais cette délicieuse douleur en me branlant tout doucement, de peur de jouir tout de suite. Je ne savais plus sur quel planète j’étais. Je suis remonté à son petit œillet rose que j’ai léché doucement, pour y déposer de la salive. Je l’ai violé du pouce, les deux phalanges d’un coup. Il a crié dans l’oreiller d’une voix rauque, à bout de souffle. Son cul serré sur mon doigt était brûlant et doux. Au rythme de mes coups de langue sur sa bite, il a serré son anus sur mon doigt, tout en gémissant en cadence. Il a levé la tête pour me dire dans un souffle : "Arrête, tu vas me faire jouir !" J’ai allongé la main jusqu’au tiroir de la table de nuit. il me restait une dernière boîte de capotes que j’avais entamée, et pas finie, des mois auparavant. J’en ai pris une, ainsi qu’un flacon de gel que je lui ai tendu. Pendant que je déchirais l’enveloppe de la capote et que je me la déroulais sur la bite, je le regardais se doigter le cul avec méticulosité. Deux doigts, trois doigts, en me glissant un regard en coin qui en disait long sur son ...