Fucking my blues away
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
hh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
voisins,
sport,
amour,
hsoumis,
Oral
préservati,
hdanus,
hsodo,
... caractère. "Je me sens salope aujourd’hui" a-t-il murmuré avant de se mordre la lèvre inférieure. "Viens me fourrer comme un salaud !" Je lui donné une petite claque sur la fesse pour lui faire comprendre que je prenais les opérations en main, et que son langage ordurier m’excitait aurait que je le réprouvais. Je l’ai pris par les hanches et j’ai posé mon gland dans la raie de son cul. Je l’ai fait glisser jusqu’au creux de son anus et j’ai appuyé doucement. il a dit "Ah !" quand le gland est passé d’un coup. Il s’est cambré et a reculé doucement, jusqu’à ce que son dos soit contre ma poitrine. Les muscles de ses cuisses étaient bandés et jouaient sous sa peau que je caressais. Il respirait à petite goulées, comme pour faire passer la douleur, mais il s’empalait résolument sur mon pieu. Bouleversifiant ! Les sensations qui remontaient de ma bite dans ma colonne vertébrales me faisaient perdre la tête. La chaleur, l’étroitesse et le jeu de ses muscles intimes qui m’étranglaient la base de la bite. J’avais presque oublié que c’était aussi bon de baiser ! Je l’ai pris par les cheveux, doucement, pour lui faire tourner la tête et l’embrasser. La sueur sur sa lèvre supérieur donnait à notre baiser une saveur salée que j’ai retrouvée dans le creux de son épaule et sous ses bras. Fiché dans son cul, je l’ai léché et caressé, presque sans aller et venir en lui. Il se tordait de volupté sous moi, me donnait des coups de cul en me regardant du coin de l’œil. Il m’a dit "Oui, ...
... prends-moi, je suis ta pute !" Alors j’ai pris ses hanches et j’ai commencer à le baiser à fond en grondant à chaque coup de rein. Il est parti dans son délire en disant des choses comme "Oui, je suis salooooope ! Je suis ta salope ! Bourre-moi le cuuuul !" J’avais le regard fixé sur son anus imberbe, distendu par mon chibre qui allait et venait de plus en plus vite. J’ai craché dans sa raie pour lubrifier le tout parce que j’avais peur de lui faire mal, et lui donnait des coups de reins pour s’empaler encore sur mon chibre. Ça n’a pas duré, j’ai giclé comme jamais je n’avais giclé de ma vie, dans un cri, presque un sanglot. Chaque giclée de sperme me traversait comme une décharge électrique brûlante. Lui s’est recroquevillé en criant du fond de ses tripes, pris de tremblement, son anus crispé sur ma bite. Ses cuisses et les miennes se sont maculées du sperme qu’il éjaculait sans même se toucher. Il n’était plus qu’un pantin cassé par le plaisir, frémissant de volupté, qui avait enfin abandonné toute sa morgue BCBG. J’ai donné encore quelques coups de reins pour le faire gémir encore, avant que sa main sur ma hanche m’empêche de lui faire trop mal. Je ne suis effondré sur son dos, complètement vidé et euphorique. Quand nous nous sommes réveillés, quelques minutes après, reprenant sa composition, il m’a caressé la joue avant de m’embrasser légèrement. "Tu m’as baisé comme un dieu. Si j’avais su, je n’aurais pas autant attendu". "Ah ? Tu savais que ?". "Que tu baisais avec des mecs ? Je ...