1. Fucking my blues away


    Datte: 06/02/2020, Catégories: hh, hplusag, jeunes, inconnu, voisins, sport, amour, hsoumis, Oral préservati, hdanus, hsodo,

    ... n’étais pas sûr, mais je me suis dit qu’il me fallait bien tenter ma chance avant de…" "Avant de ?" "De partir. Je vais poursuivre mes études en Angleterre à partir du mois prochain". Nous avons pris un petit déjeuner copieux, et il est resté une bonne partie de l’après-midi. Bien sût il m’a sucé à fond, à genoux entre mes jambes, me prenant jusqu’au fond de sa gorge, son majeur poussé à fond dans mon cul et titillant ma prostate. Pour finir j’ai giclé sur sa gueule d’ange et sa poitrine imberbe. Et puis je lui ai re-bouffé le cul, en faisant bien entrer ma langue, jusqu’à le faire jouir comme ça, sans autre stimulation. Je l’ai sodomisé à nouveau, debout devant le miroir, observant toutes les saisons du plaisir sur son visage. Pour finir, je l’ai terminé en levrette sur le parquet, au milieu du salon, le défonçant consciencieusement, presque avec de la rage, alors qu’il murmurait de sa voix égale, en pratiquant son anglais porno "Yeah man ! Take my ass, plow it ! Fuck my ass, I am your bitch !". Moi je lui donnais des claques sur les fesses pour le faire taire, parce que j’avais envie de pleurer parce qu’il partait le lendemain. L’orgasme a pris du temps à venir, il a rampé dans mes reins subrepticement et s’est imposé avec l’évidence du plaisir qui prenait possession de mon souffle. Je respirais à fond, le sang me battait aux tempes et l’arrivée du plaisir me nouait les tripes. Lui restait stoïque, silencieux, ses omoplates saillant sous sa peau si douce, salée par la ...
    ... sueur. Mes cuisses claquaient sur les siennes dans un rythme inéluctable que j’accélérais ou ralentissais pour le faire gémir, pour lui faire dire quelque chose. Il restait muet. J’ai avancé la main sous son ventre et j’ai trouvé son sexe flasque. Je l’ai tiré par les cheveux et je me suis rendu compte qu’il pleurait. "Go on" m’a-t-il dit, "Fuck me again. It’s all I have to give you. I want to fuck your blues away". J’ai continué par vengeance. Chaque coup de rein signifiait que je ne lui devais rien, qu’il n’était qu’une jeune salope bourgeoise se faisant enculer par un mec de rencontre, comme ça, sans conséquences, juste parce qu’il partait très loin le lendemain. Et puis au fur et à mesure, le plaisir a disparu, j’avais l’impression que ma bite était un morceau de bois je la lui fourrais dans les tripes sans même savoir pourquoi. Je me suis arraché de lui d’un coup, le faisant japper de douleur. Je me suis levé et je suis allé me doucher, longuement. Quand j’ai fini, je suis revenu dans le salon et j’ai allumé la télé pour voir la fin de "TOP GUN". Evidemment il était parti. Tom Cruise, avec son grand pif en ombre chinoise, embrassait Kelly McGILLIS sur fond bleu. "Take my breath away" disait la chanson. Bordel de merde, à la fin du film tout le monde s’imagine qu’ils vont rester ensemble, mais Hollywood nous berne ! Une bonne grosse pelle, un peu de musique jazzy et tout le monde croit que la vie est belle ! Foutaises ! Un coup de blues comme ça aurait été un bon prétexte pour ...