1. Ma femme est une salope !


    Datte: 07/02/2020, Catégories: h, fh, extracon, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, 69, hdanus, hsodo, init,

    ... Après, j’avais les jambes qui tremblaient. Solange a laissé retomber sa jupe et en se tournant vers moi, l’œil et la bouche coquine, elle m’a dit : — C’était bon ! C’est parce que tu étais tellement en manque, que t’es rentré plus vite que prévu ? Alors, je l’ai regardée méchamment pour lui faire comprendre que je n’étais pas dupe de sa coucherie de l’après-midi. — Comme peux-tu être aussi excitée à 4 heures de l’après-midi, toi ? Hein ! Tu te branlais la chatte en m’attendant ?— Qu’est-ce que tu vas chercher ? Je suis pas obsédée, moi !— Mon œil ! Ton sexe était aussi serré d’excitation que quand on vient de baiser, alors que je ne t’avais pas encore touchée… Solange a baissé les yeux et elle est devenue toute rouge. Puis, elle a fondu en larmes. Ouais, elle s’est mise à pleurer et au milieu des sanglots, elle m’a expliqué que mes absences lui pesaient, qu’elle était souvent en manque, bref, que tout ça c’était de ma faute ! Elle m’a dit que c’était moi qui avait commencé à la tromper avec des clientes et qu’elle avait des preuves et que j’étais qu’un salaud, un macho obsédé par le cul et que je l’aimais pas… Bref le grand cirque ! Jusque là, je m’étais contenu. J’étais resté aussi calme que je pouvais l’être en pareille circonstance, quand vous découvrez que votre femme a un amant. Et puis j’ai craqué. Oui, c’est vrai, j’ai vu rouge. J’avais assisté à un spectacle qui m’avait excité, mais qui m’avait surtout mis la rage au cœur. Comment pouvait-elle me reprocher de la ...
    ... délaisser pour mon boulot… et puis comment pouvait-elle m’accuser de la tromper. D’abord, c’était pas la même chose. Moi je l’ai jamais trompée dans notre chambre, sous le toit conjugal. Et puis merde, j’avais pas à me justifier. Alors, la colère m’a vraiment pris et je lui ai tout déballé. Et je lui ai dit ce que j’avais vu l’après-midi… Je l’ai traînée dans la chambre, mais il n’y avait plus rien. Aucune trace de sa chaude après-midi. Tout était nickel chrome. Le lit refait, la descente de lit sans plis, pas de trace de sperme sur le couvre-lit, pas de godemiché-ceinture non plus. Ni sur la table de nuit, ni dedans, ni dans l’armoire. Plus de sac non plus. Rien. La chambre semblait normale. Tout ce qu’il y a de plus normal. Dans la salle de bains, tout avait été aussi rangé. A croire que j’avais eu des visions. Que j’avais fait un mauvais rêve. Et Solange qui pleurait toujours. Pire, elle sanglotait en marmonnant je ne sais quoi sur la confiance, la fidélité et je ne sais quoi encore comme foutaises. Elle s’était assise sur le bord du lit et avait enroulé sa tête sur ses genoux. Entre deux sanglots, d’une voix étouffée, elle revenait sur ce qu’elle appelait « mes coucheries avec quelques jeunes et jolies clientes», m’expliquant qu’elle n’en faisait pas tout un plat, même si elle en souffrait énormément. Et que j’étais injuste envers elle. Elle avait aussi le droit de se caresser, de prendre et de se donner du plaisir et que ce n’était pas la première fois. Mais j’ai pas compris ...
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