1. Exhibitionniste


    Datte: 07/02/2020, Catégories: ff, fhhh, inconnu, campagne, voiture, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, double, Partouze / Groupe aliments, humour,

    ... portière, me dit de la suivre quoiqu’il arrive, sort de la voiture, s’éloigne un peu et fait de l’auto-stop dans le plus simple appareil. Je lui crie qu’elle est folle, qu’elle va tomber sur un sadique, que je ne réponds pas d’elle, elle n’en a cure. Quelques voitures font des embardées en la voyant. Peu de temps d’attente et un train routier s’arrête. Quelques palabres et la voici qui grimpe dans la cabine du camion. L’engin démarre, lentement, tel un pachyderme, je vais le suivre à distance. Quelques kilomètres plus loin, le "40 tonnes" s’engage dans un chemin de traverse, recherche une place de parc et s’arrête loin du regard des curieux. Je descends de voiture et m’approche de la portière du camion, la fenêtre est entrouverte. J’entends nettement deux camionneurs s’adresser à Roberta assez crûment. Si elle veut de la baise, elle en aura, si ses trous ne sont pas assez remplis, on les remplira. Des bruits de succion m’avertissent d’une fellation que l’un des hommes a l’air de particulièrement apprécier. L’autre, un peu jaloux demande aussi un peu de soins. Les respirations deviennent haletantes. Un ordre fuse et j’imagine Roberta en train de se faire tringler par l’un, sucer par l’autre. Remue-ménage dans la cabine, les amortisseurs font un petit va-et-vient, les rôle semblent inversés. Debout à côté de la portière, j’imagine le plaisir du camion, son éjaculation pachydermique si le va-et-vient des amortisseurs s’amplifie vraiment. L’un des camionneurs parle de beurre, ...
    ... je ne pense pas que ce soit le moment de la tartine, j’en suis là dans mes réflexions quand j’entends un « Haaaa..! » guttural, à deux voix, celle d’un homme et celle d’une femme, suivi d’un « Oh, c’est bon… », uniquement la voix féminine. Encore heureux, Roberta prend son pied. Enfin un duo mâle de borborygmes entrecoupés de jurons se terminent par un « Haaaa…! » en harmonie, puis plus rien. Nouveau remue-ménage, la portière s’ouvre. Roberta groggy et gluante de sperme descend de la cabine suivie par les deux camionneurs, torses nus, remettant leurs pantalons. « C’est toi le photographe ? » me demande celui qui semble être le chef, « On veut des photos avec ta dulcinée, on te donnera notre adresse, tu nous les enverras plus tard » Chose dite, chose faite, je passe aux photos de famille, les deux gros camionneurs, il n’y a pas que le camion qui est énorme, et Roberta nue au milieu d’eux. D’autres prises de vue suivent: embrassade de l’un puis de l’autre, pelotage de Roberta par le premier puis par le deuxième, pantalons baissés, fellation de chacun, et ils bandent à nouveau. Le jeu de piquet se remet en place, je dois immortaliser les pieux réussissant à pénétrer dans leurs trous, puis deux pieux en même temps dans deux trous différents. Ils finissent par éjaculer, l’un sur ses fesses, l’autre sur le visage. Roberta semble avoir dépassé le point de non-retour, elle malaxe encore les attributs de ces messieurs comme un paysan trait sa vache, mais plus rien n’en sort. À cet ...
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