1. Exhibitionniste


    Datte: 07/02/2020, Catégories: ff, fhhh, inconnu, campagne, voiture, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, double, Partouze / Groupe aliments, humour,

    ... instant, un peu comme Zorro, arrive un deuxième semi-remorque qui s’arrête à côté de l’autre. Les deux nouveaux chauffeurs ont été avertis de l’aubaine par radio CB. Ils congratulent leurs collègues et distribuent les rôles. L’un des premiers camionneurs grimpe nu dans sa cabine, ses bourses dépassant au-dessous de lui de burlesque façon, pour en ressortir avec une caméra vidéo. Ils filment les scènes de trois hommes bien charpentés s’affairant consciencieusement dans les différents orifices à disposition. Roberta, folle de sexe, ne se contente pas de subir les assauts, elle en rajoute régulièrement, que la mise en scène soit encore plus pimentée. Je m’éloigne le long du chemin, un peu écœuré de la tournure qu’on pris les événements. Titillé, malgré tout par le spectacle, je me caresse à travers mon pantalon et surprend une demoiselle, son vélo au sol, pantalon et string à ses pieds, cachée derrière un buisson, observant le groupe en se masturbant. Elle me voit, sourit un peu jaune, me fait signe et m’accueille. Nous avons rapidement fabriqué un lit de nos habits étalés et copulé le plus naturellement du monde, sans plus nous préoccuper de la tournure des évènements. Je trouve ici la douceur, la candeur, que j’avais imaginé en allant au ...
    ... rendez-vous de Roberta. C’est avec délectation que j’embrasse cette grande bouche avide, avec bonheur que je caresse ces petits seins d’une incroyable douceur, avec régal que je lèche cette vulve humide et poivrée. Dans un état de quasi-béatitude, j’enfonce mon sexe dans celui du sexe opposé (pastichant Guy Béart). Lentement, comme dans un film au ralenti, le va-et-vient de ma verge enivre ma compagne. Elle s’accroche à moi, ses jambes croisées derrière mes fesses, émettant un petit râle de contentement. Tout monte, la tension, l’adrénaline, l’excitation. J’explose… mes oreilles bourdonnent en synchronisation avec la mise en route des moteurs des deux camions. Tout redescend, la magie du moment, l’ivresse, ma verge. Les semi-remorques s’éloignent dans un tintamarre de fin du monde. « Petar, où es-tu ? » murmure la voix de Roberta, comme Charlot dans le brouillard du "Grand dictateur", recherchant son capitaine. Son regard est en effet brouillé, je l’aide à monter dans la voiture, m’installe au volant. Juste un petit signe amical à ma compagne romantique remontée sur son vélo et nous rentrons chez Roberta. Je la transporte, nue dans mes bras, comme une mariée, jusque sur son lit. Elle s’endort immédiatement, je m’esquive discrètement. (à suivre) Petar 
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