Barbara et les Incas
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
avion,
fsoumise,
hdomine,
double,
sm,
BDSM / Fétichisme
... ouvrir le chemisier et dégager les splendides mamelles. Il avait saisi ce beau pamplemousse, appréciant son poids, sa fermeté. L’enveloppant de ses doigts, il avait joué à l’écraser pour faire ressortir les beaux tétons. La rudesse de ce traitement avait amplifié l’excitation de sa secrétaire. La transparence de ses yeux azurés avait commencé à se voiler, le regard se perdant dans les troubles contrées du plaisir. Le professeur s’était glissé aux genoux de la belle pour gober ce pis tandis qu’il continuait à traire l’autre sein. Sa collaboratrice avait laissé échapper un rauque feulement de plaisir qui s’était transformé en halètement quand, délaissant son cul, les doigts s’étaient glissé dans sa culotte et avaient commencé à pistonner son vagin. — Baise-moi, prends-moi toute ! avait-elle réclamé avec impatience. Caleçon et pantalon avait été enlevés en un instant et le mâle, après avoir renversé sa femelle sur le bureau, avait d’une seule poussée enfoncé sa queue dans la chatte ouverte et trempée. Leur accouplement avait été sauvage et débridé. Elle l’avait entouré de ses jambes et lui avait donné le rythme à grands coups de talons dans les fesses. Il l’avait pénétrée, enfoncée, fouillée, forée, dévastée, limée, ramonée avec toute l’énergie dont il était capable, jusqu’à ce qu’il sente le corps de sa partenaire se tendre comme un arc et sa jouissance éclater. Plus tard, enfin repue de son envie de sexe, elle lui avait expliqué ce qui avait déclenché son désir si fort et ...
... sa séduction si directe. Sexuellement délaissée depuis plusieurs mois par son mari, elle avait accepté l’arrêt de leurs rapports physiques en mettant sur le compte de l’âge cette baisse de libido. Cela faisait d’ailleurs plusieurs années qu’ils avaient cessé d’explorer le Kâma-Sûtra, leur sexualité se faisant plus tranquille avec des rapports de plus en plus courts et de moins en moins fréquents. Et puis, la semaine précédente, elle avait découvert qu’il avait une maîtresse. Abattue pendant plusieurs jours, elle n’avait pas réussi à parler avec lui de cette liaison, mais elle avait tout envisagé : le divorce, bien sûr, mais aussi le meurtre ou le suicide… Elle se sentait flouée, mise au rebut, plus bonne à rien. Après cette longue descente dans le désespoir, elle avait, en touchant le fond, trouvé une étincelle de vie. Elle s’y était accrochée avec l’espoir de se reconstruire, de pouvoir exister. Petit à petit, elle avait raisonné, argumenté en elle-même l’opposition à sa désespérance : si lui ne la désirait plus, peut-être pouvait-elle encore plaire à d’autres ; il se pouvait que le choix de son mari soit une erreur et qu’elle puisse encore séduire ! Elle s’était longuement observée dans la glace. Son corps n’avait plus la vigueur de ses vingt ans, mais elle avait conservé (et même développé) l’essentiel de ses avantages. Sa poitrine, qu’elle avait parfois entendu qualifier « d’arrogante », s’était un peu plus gonflée avec les grossesses et elle voyait souvent le regard des ...