1. Barbara et les Incas


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fhh, ffh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, avion, fsoumise, hdomine, double, sm, BDSM / Fétichisme

    ... hommes glisser dans son décolleté. Ses fesses s’étaient elles aussi un peu plus rebondies ; mais, malgré la mode et les mannequins anorexiques, les Vénus callipyges continuaient à attirer bien des mâles. Bien sûr, il y avait le reste, le ventre trop arrondi, les cuisses trop lourdes… Elle avait réussi à ne pas se focaliser sur ces traces des ans et à faire un constat plutôt positif de l’inventaire de son corps. Alors elle avait décidé de se mettre en chasse ! L’évidence s’était vite imposait à elle : s’il y avait un homme qu’elle voulait « se faire », c’était le professeur Constantin. Daniel, encore palpitant et essoufflé de la joute qu’ils venaient de mener, avait recueilli avec intérêt cette confession dont la conclusion lui convenait pleinement : Rose voulait un amant pour vivre pleinement sa libido retrouvée sans pour autant quitter sa famille ; lui, il tenait à son célibat et refusait de s’engager. Leurs relations professionnelles ne se trouvèrent pas modifiées par cette nouvelle complicité. Le seul changement apparent fut le passage au tutoiement qui ne surprit aucun de leurs collègues, leur entente étant déjà depuis longtemps chaleureuse. Il n’y eut pas non plus d’évolution amicale : ils continuèrent à ne pas se voir hors des temps de travail. Leurs retrouvailles se faisaient toujours près du bureau et ils connaissaient maintenant tous les locaux d’archives et débarras qui pouvaient les accueillir suffisamment discrètement. Après cette première fois, ce fut toujours ...
    ... Daniel qui avait pris l’initiative de leurs rapports. Tant qu’il exprimait son désir, elle acceptait avec joie de le servir, d’être sa vestale et même son déversoir à foutre. Tout ce que l’homme donnait était reçu par la femme comme un hommage, quelles que soient la bestialité et la lubricité de leurs échanges. Sa bouche, ses seins, sa chatte, son cul étaient entièrement voués à son service et il pouvait en disposer comme il voulait. Sa servitude n’avait pas fait l’objet de discussions, ni d’une quelconque élaboration. Elle s’était établie dès le lendemain de ce premier coït. Elle était arrivée au travail sagement vêtue, et rien de particulier ne s’était passé au cours de la journée. Un peu avant la fin de la journée, il était passé au secrétariat et lui avait demandé de le rejoindre dans son bureau. Lorsqu’elle était entrée, il lui avait ordonné de fermer la porte et s’était approché d’elle tandis qu’elle tournait la clef. Ils s’étaient longuement regardés, et ce dialogue silencieux avait établi le cadre de leurs relations extra-professionnelles. — Suce-moi ! avait-il exigé. Elle s’était aussitôt agenouillée devant lui et avait exécuté l’ordre jusqu’à ce que sa bouche soit remplie de sperme. Ils s’étaient ensuite séparés sans le moindre commentaire. Dans les jours qui suivirent, il la baisa, l’encula, se branla entre ses seins toujours aussi directement et sans discussions inutiles. Le reste du temps, il était toujours très respectueux d’elle, la domination restant réservée à ...
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