Jennifer 2.0
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
... vu taper sans aucune hésitation les codes des portes blindées, couper les alarmes de la même façon et revenir, le plus tranquillement du monde, avec à l’épaule un petit sac de jute contenant tout le matériel nécessaire à son plan. — Bon alors, maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? On bute quelqu’un, on baise au beau milieu de la route, ou l’on invente encore autre chose ? Indifférente à ma tension, elle sourit. — Pour ce qui est de me baiser, j’en serais ravie mais je crois que tu as eu ta dose pour aujourd’hui. Par contre, je connais deux ou trois petits hôtels tranquilles et surtout sans caméras où tu pourras tranquillement te reposer. Si tout va bien, demain vers midi, tout sera fini. Content de l’apprendre… Un peu plus tard, après un repas frugal mais apprécié, je me retrouve au lit auprès de Jennifer. Qu’elle soit nue ou habillée, elle est toujours aussi désirable… Mais ce soir, l’essentiel est ailleurs. — Pour découvrir la dernière pièce du puzzle, j’espère que tu seras à la hauteur. Je ne sais pas ce qui est passé dans la tête de Vincent lorsqu’il a pondu le programme, mais… Normalement, je devrais écouter ce message important… mais cela m’est impossible. Lové dans ses bras, je me suis endormi. ---oooOooo--- La lumière s’infiltre doucement au travers du store vénitien. Là, sur la table de nuit, un petit déjeuner complet m’attend, et Jennifer m’a visiblement gâté : œufs au bacon, jus d’orange, café, croissants, tout y est pour me remettre de mes émotions de la veille. ...
... Par contre, sur le plateau, il y a également quelque chose qui m’intrigue et qui n’a rien à voir. Tant pis, elle est sous la douche, je lui poserai la question lorsqu’elle reviendra ; ventre affamé n’a point d’oreilles… J’ai fini l’omelette lorsqu’elle réapparaît. Nue, comme il se doit, les cheveux défaits et encore à moitié dégoulinants de la douche, elle est sublime. En vérité, je n’arrive pas à décider dans quelle tenue je la préfère. — On va faire du cheval, aujourd’hui ?— Non, pourquoi ? répond-elle, surprise.— Et ça, c’est quoi ? Je pose sur le lit la badine et la cravache qu’il y avait sur mon plateau. Elle sourit. — Je te l’ai dit hier soir, mais tu dormais. Je ne sais pas quelle mouche a piqué mon créateur lorsqu’il a pondu cette chasse au trésor, mais c’est pour moi. « Pour moi » ? J’ai peur de comprendre… Et je manque de m’en étrangler. — Pardon ?— Tu as bien compris… Il faut que tu me fasses rougir le cul jusqu’à ce que tu puisses y lire une adresse. C’est la prochaine étape…— Mais c’est hors de question ! Je ne frappe pas une femme !— Ne sois pas ridicule, tu sais très bien que je n’en suis pas une. Me frapper, c’est comme shooter dans une roue de bagnole… Sauf que, précisément, je ne tape pas dans les roues de ma charrette, cela fait trop mal… Mais pendant que je souris à sa comparaison, un détail troublant me revient subitement à l’esprit. Même si cela n’a duré que quelques instants, je comprends soudain pourquoi elle m’a faussé compagnie lorsque j’achetais les ...