Jennifer 2.0 - Histoires de Sexe

Jennifer 2.0

... jumelles. — Attends : tu as trouvé cela dans le magasin d’articles de chasse ?— Oui, il y avait aussi pas mal d’articles d’équitation… Je fulmine. — Sauf que cela veut dire que tu connaissais déjà l’épreuve suivante ! Le coup du resto, c’était donc du pipeau ? Miracle de la technologie, elle rougit comme une pivoine. — Absolument pas. D’abord, j’ai cru un moment que les mecs en noir étaient réellement là pour nous, mais j’ai su en sortant du resto qu’il s’agissait d’une fausse alerte. Ensuite, je n’avais qu’une partie des données ; c’est le coup de la pipe qui m’a donné le reste. Que dire… Que c’est plausible ? Et en plus, je l’ai déjà dit, je suis quasiment certain qu’il lui est impossible de raconter des bobards. J’en ai d’ailleurs très vite confirmation. — Vincent a horreur des mensonges, aussi ne puis-je pas mentir. Ce serait plus simple : cela te ferait une superbe occasion de me corriger. Et encore, je ne suis pas certain du tout que me pousser à bout soit la meilleure façon de parvenir à vaincre mes réticences et que la punition soit efficace. Parce que, s’il m’est arrivé quelquefois de gifler certaines filles qui l’avaient bien cherché – ce qui ne m’empêche pas de ne pas en être fier – je ne suis jamais allé plus loin, et ce n’est pas aujourd’hui que j’ai envie de commencer. — Fais comme si ; poursuit-elle, il le faut et c’est moi qui te le demande.— Il n’y a vraiment pas d’autre solution ?— Non. Tant que mon cul ne sera pas rouge et tant que je ne pleurerai pas, ...

... l’adresse ne s’affichera pas. Et on aura fait tout ça pour rien ! J’ai beau essayer de me persuader du contraire, je n’arrive pas à envisager Jennifer autrement que comme une femme, et que non seulement la frapper ne représente rien mais qu’en plus, c’est elle qui m’en implore. Non, elle a un corps de femme, elle parle comme une femme, et le fait qu’elle n’en soit pas une ne change rien à l’affaire. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’elle se met à pleurer ! De grosses larmes coulent de ses joues, exactement comme si elle n’était pas née des idées fumeuses de mon frangin. Je la prends dans mes bras. — C’est entendu, on va trouver une solution. Cette simple évocation accroche un sourire sur le visage de Jennifer. — C’est vrai ? Tu va me fouetter ? demande-t-elle, pleine d’espoir.— Non : ça, c’est hors de question. Par contre, si tu m’aides, je veux bien essayer de te fesser.— Me fesser ? Et tu crois que ça marchera ?— Il le faudra bien, car c’est moi qui ne marcherais pas.— D’accord. Et comment veux-tu que je t’aide ?— Certaines femmes ont du plaisir à se faire claquer le fion, il paraît. Tu peux être comme elles ?— Pas la peine, je le suis déjà. J’ai été configurée pour être amoureuse de toi, je te le rappelle, et je le suis. Alors, tu as le droit de faire ce que tu veux de moi ; et même dans la souffrance, j’aurai du plaisir si cela vient de toi. Ben voyons ! En tout cas, elle ne me laisse pas le temps de tergiverser et s’allonge d’elle-même sur mes genoux. Son ravissant ...