Jennifer 2.0
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
... demi-heure de route, nous nous retrouvons devant cette antique maison de campagne. Ce qui fut le jardin est envahi par les hautes herbes, et le portail rouillé ne ferme plus depuis des lustres. Assez bizarrement, l’endroit ne semble pas avoir été squatté, et la cabane où mon grand-père avait coutume de bricoler semble être en assez bon état. Jennifer se penche à mon oreille. — Le serveur est là-bas, dans la cabane. Mais en attendant, si nous avons de la compagnie, il vaut mieux donner le change ; alors, suis-moi dans la combine… Aussitôt descendus de voiture, elle se colle tout contre moi et m’embrasse à pleine bouche ; sa langue chaude et agile vient à la rencontre de la mienne avant de s’enfoncer jusqu’aux amygdales. Heureusement qu’elle est en représentation… Je ne sais pas ce qu’elle aurait fait de plus si elle ne l’était pas ! Le sac de jute de la carrière tranquillement à l’épaule, je lui emboîte le pas dans cette forêt vierge. Visiblement, personne n’est venu ici depuis Mathusalem. Comment est-il possible que ce satané serveur soit ici ? Je ne suis même pas certain que tout cela soit encore relié au réseau électrique ! À notre gauche, il y a un petit palier. Encore une fois, je connais l’endroit pour avoir emprunté maintes et maintes fois cet escalier de briques qui descendait autrefois à la cave, toujours fermée par une antique porte de bois. Jennifer pose son sac à main sur la marche du haut et, tout en me regardant dans les yeux, entreprend d’ouvrir sa veste de ...
... jean. Sa voluptueuse poitrine apparaît, et c’est bientôt à la jupe de rejoindre la veste à côté du sac… Totalement nue, à l’exception de ses habituels hauts talons, totalement indifférente au fait qu’elle pourrait très bien être vue de la rue, elle me fixe une fois de plus dans les yeux. — Le premier à la cabane baise l’autre, rigole-t-elle, juste avant de partir en courant. Le combat est inégal ; elle ne peut naturellement pas aller aussi vite que moi sur ce sol aussi irrégulier qu’instable avec ses escarpins, mais là n’est pas l’essentiel. Tiens, en passant, ne serait-ce pas son sac à main qui vient de dégringoler à l’instant dans les marches ? De toute façon, là encore, cela n’a pas d’importance… La cabane est à une cinquantaine de mètres, et c’est Jennifer qui s’y présente la première. À l’intérieur, rien n’a changé : toujours les mêmes vieux outils dans un désordre indescriptible et, sur l’antédiluvien établi couvert de poussière, un bête ordinateur portable. À en juger par sa propreté, il n’est pas là depuis très longtemps et il est en train de fonctionner ; la diode verte en est la preuve. Je l’ouvre. — C’est ça, le serveur ?— Oui et non. Le serveur proprement dit se trouve sous le meuble… Cela semble probable, dans la mesure où l’établi est fermé, comme à l’époque, par une lourde porte de bois cadenassée. Du temps de mon grand-père, il y rangeait tous ses outils coupants ou dangereux, pour que les sales gosses que nous étions n’aient pas la bonne idée de se blesser avec. ...