Jennifer 2.0
Datte: 09/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
hplusag,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
merveilleu,
... petit cul est à ma portée. Je le caresse doucement, le palpe, le pétris… Jusqu’à ce que je le claque gentiment. Pour toute réponse, Jennifer gratifie cette première gifle d’un soupir d’aise, bien vite rejoint par un autre lorsque je décide de m’attaquer à l’autre fesse. Chaque nouvelle gifle sur son adorable séant se traduit par quelques gémissements qui, très vite, se transforment en véritables cris tandis que la fréquence et la force de mes coups s’intensifie. Son cul commence à rougir, mais rien ne s’affiche. Et puis, elle en réclame encore ! Lorsque, d’aventure, je ralentis un peu la cadence – ma paluche commence à me faire souffrir, un comble ! – elle proteste énergiquement, tandis que je me rends soudain compte que sa main droite, qui était jusque là sur le sol pour l’empêcher de tomber, vient de partir à la rencontre de son entrejambe. Cette fois, c’en est trop : encore quelques coups bien appuyés sur cet admirable cul, et j’attrape Jennifer de telle façon qu’elle se rapproche quelque peu de moi. Instinctivement, sans doute pour ne pas perdre l’équilibre, elle ouvre largement les jambes et ma main en profite pour aller à la rencontre de sa chatte. Celle-ci est détrempée. J’y entre deux doigts sans aucune difficulté tandis que mon pouce glisse jusqu’à son clitoris. Les cris, qui avaient disparu lorsque la fessée s’était terminée, reprennent de plus belle lorsque je commence à la pistonner sans douceur ni retenue. Leur tonalité n’a que très peu changé mais Jennifer ne ...
... les pousse plus pour les mêmes raisons… Et comme ma main s’est glissé jusqu’à sa poitrine – dans un premier temps, c’était pour l’empêcher de tomber – je me suis mis à la pétrir autant que je peux tout en en titillant les pointes. L’effet ne se fait pas attendre : elle part dans un violent orgasme qui semble ne pas en finir. La scène a un côté irréaliste, surtout que, l’instant d’avant, il m’avait semblé un instant qu’elle pleurait sous mes coups… Elle reprend son souffle, complètement désarçonnée. Encore une fois, difficile d’imaginer ce qu’elle est réellement, là, tout de suite… Et encore un peu plus lorsqu’elle se blottit dans mes bras. — Merci… Merci… C’était terrible, mais merci… Je vois qu’elle est sur le point de me dire des choses plus personnelles, mais aussi probablement plus sérieuses lorsqu’elle se ravise. — Et il y a quelque chose à lire, sur mon cul ? Il me cuit, tu n’as pas idée ! Mais il faudra que tu essaies, à l’occasion : c’est délicieux… Ben voyons ! En attendant, je baisse les yeux, quelque chose vient en effet d’apparaître.6, avenue des Rosiers. Cette adresse, je la connais bien ; c’est l’ancienne maison de week-end de mes grands-parents. Nous y venions souvent, le frangin et moi, lorsque nous étions enfants. Mon Dieu, c’est si loin… ---oooOooo--- Dans la voiture, Jennifer m’a prévenu : c’est la dernière ligne droite. Il est donc fort probable que, malgré toutes ses précautions, nous soyons suivis et pistés. C’est donc le cœur battant qu’après une bonne ...