L'affaire LunaSex - Histoires de Sexe

L'affaire LunaSex

... peu de sperme perlait sur son menton. — Vous trouvez cela choquant ?— Oui, extrêmement.— Il ou elle me propose 60.000 euros pour résoudre son affaire. Il faut bien payer de sa personne. De plus, je ne suis jamais contre sucer une bonne grosse queue, surtout quand elle appartient à une jolie femme. Elle me propose 60.000 de plus si vous vous exécutez également. Cette somme sera pour vous. Myriam se sentit chavirer. C’était une fameuse somme. Jamais elle ne pourrait l’obtenir si vite. De plus, sucer elle-même un homme, même s’il ressemblait à une femme, lui semblait presque naturel. — J’accepte bien sûr. Mais c’est vous que j’aurais préféré sucer.— On ne perd rien pour attendre. Elle humecta inconsciemment ses lèves et fit claquer sa langue contre son palais. — Elle a bon goût ? Je ne suis pas sûre d’être aussi douée que vous.— Moquez-vous donc. Entrez, je vous suis. Hélène leva la tête. — Ah la belle petite pouliche ! J’ai bien envie de lui baiser la bouche et autre chose. Dépravée, pensa Myriam, et elle fit un sourire charmeur à leur cliente et un regard exaspéré à son patron. — Allez ! c’est la crise, au boulot, dit Sigismond. Montrez donc vos beaux petits seins à madame. Et il joignit le geste à la parole en la désapant. — Hum ! elle est bonne, dit madame Ravic en connaisseuse. Je vous félicite de ce recrutement Sigismond. Vous avez vraiment un goût très sûr !— Elle est à vous, dit Sigismond, elle est toute neuve, elle est de ce matin.— Montrez-moi son cul, vous m’avez ...

... vraiment excitée avec votre pipe digne d’un dieu. J’ai à présent envie de sodomiser une femme, directement sans préliminaires.— Attendez une seconde ! On m’avait dit « sucer», pas « se faire enculer » !— Très bien, petite, tu es dure en affaires, 15.000 euros de plus.— Prenez mon cul, ma bonne dame. Sigismond, ne la laissez pas trop m’abîmer, je vous en supplie !— Ne vous inquiétez pas, je vais vous préparer. Il humidifia un doigt, le glissa dans sa jupe et dans sa culotte, suivit la fente des fesses, descendit et trouva l’orifice qu’il caressa. Il enfila ensuite son majeur dans le trou et le fit coulisser. Myriam se tenait à son épaule en gémissant : — Ah merci, patron !— Penchez-vous vers l’avant que je retire vos vêtements. Écartez les jambes. Cet anus est prêt, madame Ravic, vous pouvez en profiter. La transsexuelle avança, tenant à la base sa grosse pine bandée. Un sourire vicieux rayonnait sur ses lèvres. — Vous pouvez vous mettre à l’avant, Sigismond, dans sa bouche. Quoi de plus naturel qu’une employée suce son patron. Pour ma part, je préfère la bouche des hommes. En revanche, pour ce qui est de l’anus, rien ne vaut une jeune et jolie femme… Sigismond se présenta devant le visage de Myriam, mais attendit que la cliente lance le premier coup de boutoir pour sortir lui-même son gros dard et le caresser doucement sur le visage, le front, les joues, les cheveux de la belle blonde. Myriam lança un cri qui finit en gémissement. — Arrêtez ! C’est trop gros… oh… et puis non, ...