1. Münchner Freiheit Partie 1


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Matrose). Je rencontre un collègue avec lequel nous refaisons le monde, mais au deuxième verre, je préfère m’éclipser avant d’être saoul. En traînant mes pieds, je me demande à maintes reprises ce que m’a fait Elke pour être aussi présente dans ma tête ! Ce n’est pas la première fille avec laquelle je vis une aventure brève, inopinée et insolite ! Mais elle... je ne sais pas. Enfin, si, j’ai très envie de la revoir. D’une rue à l’autre, j’arrive vers Prinzregentenstraße. Là, il y a un coin de drague homo autour de simples pissotières. À la lumière jaunâtre des réverbères, généralement, des ombres attendent de voir quelques nouvelles têtes arriver, exultant des volutes de condensation à la lumière des réverbères. Lorsqu’une personne manifeste son désir, elle se déplace vers les tinettes, et libre à soi de la suivre, ou non. Je me cale contre le parapet du pont surplombant l’Isar (le fleuve traversant Munich), ouvre mon blouson de cuir, y plonge ma main pour choper mes clopes, histoire de prendre le temps d’observer les lieux. Pour oublier ma blonde, pourquoi pas un mec, après tout. Ce soir, il n’y a qu’une seule âme. Vêtu d’un imper 3/4 bleu marine, blond comme les blés, un homme marche doucement les mains dans les poches, le cou dans son col. Il est grand, et s’il n’a pas d’épaulettes factices, il est vraiment tanqué comme un gladiateur. Il s’approche et passe à deux mètres de moi, me fixe du regard, puis, d’un pas tranquille, emprunte le pont par-dessus l’Isar d’un pas ...
    ... nonchalant. Il ne désire visiblement pas du confort des toilettes, et je le comprends tout à fait. Lorsqu’il a parcouru un bon tiers du chemin, je me mets à le suivre. De l’autre côté du fleuve, une placette arborée disposant de quelques bancs, éclairée par deux lampadaires offre un bien meilleur refuge pour s’isoler sans risques. Il me tourne le dos, je m’approche doucement de lui. Lorsque j’arrive derrière lui, il me fait face en souriant. Ses mains dans les poches, il écarte sans hésiter les pans de son long manteau. C’est direct, délibéré, j’apprécie. Bandé à craquer, son sexe m’apparaît alors. Une très belle queue, puissante, droite et pointée vers les cieux, dont les proportions semblent parfaites. Je m’agenouille devant cette œuvre afin de mieux l’apprécier et pouvoir la toucher. À peine ma main l’enserre que son prépuce dégage un très joli gland. Je vais devoir le sucer, mais avant, je lui dis qu’elle est magnifique. — Aimes-tu ? me demande-t-il. Pour réponse, je descends mes lèvres sur cette grosse bite, et m’active à la déguster. Propre, douce, cette belle verge trouve sa place dans ma bouche. Voyant que je suis décidé à le dévorer, il dégrafe sa ceinture, et laisse tomber son pantalon sur ses chevilles, rendant du même coup ses couilles accessibles, et je m’en occupe un peu au passage. Il sent bon, il est beau, et sa queue est un régal. De ses mains revenu dans ses poches, il referme son manteau sur ma tête comme pour me protéger, et, dans cette bulle de chaleur, je ...
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