1. Münchner Freiheit Partie 1


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... notre présence, éjaculant copieusement entre ses lèvres. Ce n’est de toute évidence pas sa première pipe, et mon sperme n’a pas l’air de lui faire peur. Elke vient de me libérer de toutes mes tensions, recevant mes jets brûlants sans sourciller, essorant mon sexe jusqu’à ce qu’il commence à ramollir. Ma hampe toujours dans sa main, elle se redresse pour me faire face en me masturbant doucement. La tête légèrement en arrière, elle ouvre grand sa bouche ; malgré la faible lumière, je vois qu’elle a gardé une grande partie de mon foutre, et que de sa langue, le fait tourner, ses yeux dans les miens. Sa main passe dans mon cou et me tire fermement vers sa bouche. Tout en continuant sa caresse sur ma queue, elle m’embrasse et mélange nos salives à mon sperme, me le rendant par petits coups de langue pleins de sensualité. — Ta queue est très belle, petit Français, et très bonne, mais… je dois y aller. Une autre fois, je la voudrai en moi. Se saisissant du parapluie, Elke s’en va, s’évaporant dans la nuit en me laissant sous la pluie, le pantalon dégrafé et la bite à l’air. Il me faut bien ça pour retrouver le cours de mes pensées, refermer mon pantalon, et réaliser qu’une femme splendide vient de me tailler une pipe d’anthologie. Revenu à l’abri sous le patio de l’immeuble, le temps d’une cigarette, je réfléchis à ce que j’allais faire de cette soirée. J’aurais bien aimé la découvrir, la dévorer de la racine de ses cheveux jusqu’à ses orteils, savourer la texture de ses fesses ...
    ... en les mordillant, le goût de son intimité, palper sa généreuse poitrine… Je suis en train de me faire du mal, et bien que je vienne de jouir, mon membre s’allonge de nouveau lentement dans mon caleçon : il m’en faut plus pour clore cette soirée. Verdammt ! (Putain !) C’est décidé, je ne peux en rester là pour ce soir. Vite décidé, je grimpe les quelques marches qui me séparent de chez moi. Le temps de prendre une douche, je me jette dans mon jean sans rien dessous et jette ma veste en cuir sur les épaules. Un coup de parfum pour la route et me voilà de nouveau sous la pluie pour sauter… dans un taxi. Pas le cœur à rester seul, besoin de boire un coup, de voir du monde. Bref, je trouverai bien un coin pour me changer les idées, Munich n’est pas une ville où le se couche très tôt. Je jette mon dévolu sur un très célèbre bar à cocktails, le Schumann’s. Assis dans mon carrosse, je contemple la beauté de cette ville illuminée. Ma main posée sur ma verge libre de toute entrave m’indique clairement le degré d’excitation dans lequel je me trouve. Alors que nous avançons, je constate que nous nous rapprochons d’Odeonsplatz. La pluie a presque cessé, je parviens à lire les plaques de rues. Nous y sommes. Je règle — pas de tarif de nuit à Munich— et me fraie un chemin jusqu’au comptoir. Les gens rient, parlent fort, trinquent... vivent, en fait. Je commande un de mes cocktails préférés : un Leicht Matrose. (Matelot léger, à base de rhum blanc. Il existe la version “lourde”, le Schwer ...
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