1. Münchner Freiheit Partie 1


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Préambule : N’ayez crainte, je ne vais pas vous raconter ma vie. Néanmoins, selon l’adage, comment savoir où l’on va, si nous ne savons pas d’où l’on vient ? Afin que vous puissiez apprécier ce récit au plus près de son sens, je me dois de vous livrer quelques éléments clés. À la lecture de certains textes érotico-pornos, nous sommes parfois amenés à penser que l’auteur affabule ou bien encore qu’il ne se rend pas vraiment compte des limites physiologiques humaines, n’hésitant pas un instant à nous entraîner sur les berges glissantes — « les berges », pas les verges — de leurs délires, parfois paranoïdes. Alors, jusqu’où peut-on aller ? Est-ce par addiction, par pulsions irrépressibles que nous « consommons » autant de sexe ? Sommes-nous des cas isolés, des forces de la nature, des pervers ? Ne serait-ce pas plus simplement par passion, l’envie de vivre à 100 % ? Le cerveau à deux étages, c’est ainsi que je me vois. Cette sensibilité à fleur de peau, qui sans cesse me fait danser sur le fil du rasoir. Là où certains verraient la bisexualité comme un enrichissement, comme la possibilité de jouir indifféremment dans les bras d’une femme que dans ceux d’un homme, serait plutôt à mes yeux l’expression d’une maladie auto-immune nous rongeant l’âme par manque de repères stables et d’équilibre. Ma bisexualité s’est autoproclamée vers mes 14 ans, sous forme de fantasme bien évidemment, à cet âge. Cette nécessité de connaître d’autres sensations que celles offertes par le sexe ...
    ... opposé. Jouir des yeux en regardant ces puissantes verges disparaître “à l’intérieur” de superbes plastiques féminines. En feuilletant mes revues pornographiques, un terrible dilemme s’imposait comme une évidence : prendre, ou être pris ? Assez jeune, par une chaude nuit d’été, j’ai rencontré Corinne dans un camp naturiste. Cette très jolie jeune femme, du haut de ses 20 ans, me fit découvrir les joies de l’amour physique. Sa bouche sensuelle ne lui servait pas qu’à s’alimenter, je le compris lorsqu’elles glissèrent autour de ma hampe. Elle m’apprit comment faire jouir une femme avec ma langue avant de guider mon sexe dans sa petite chatte. 3 jours plus tard, nous repartions, les vacances se terminaient. Aucun souci pour en trouver d’autres, tout allait bien ; mes anciens flirts appréciaient ma récente maturité. Pourtant, j’étais persuadé qu’un plaisir m’échappait, mes fantasmes “bi” hantaient mes plaisirs solitaires et peuplaient mes rêves inavouables. Le rêve s’est concrétisé peu après mes 19 ans, sur un lieu de drague homo. La quarantaine, beau mec, du bagout, je me suis retrouvé un verre à la main chez Stéphane. Après une longue discussion sur mes envies, il m’a mis très à l’aise en se déshabillant lentement. Lorsque son pantalon s’est ouvert, sa très belle queue, aussi grosse que réelle, s’est mise à jouer les métronomes sous mes yeux ébahis. Il m’était enfin permis de goûter à ce fruit tant attendu. Ma première queue, ma première pipe, et surtout ce sperme qui inonde mes ...
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