1. Münchner Freiheit Partie 1


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... papilles émerveillées. Il m’a laissé son sexe à disposition tout en s’occupant de moi. Bien que très gros, il n’eut aucune difficulté à lentement s’immiscer en moi. Et de sentir cette colonne de chair coulisser aussi librement entre mes reins, toutes ces vagues de chaleur se diffusant à l’intérieur de mon ventre, m'ont fait oublier les légumes froids et rugueux qui l’avaient précédé ! Quand son nœud palpitant dans mon abdomen a propulsé son foutre en longues giclées, mon fantasme s’était réalisé : je venais de faire jouir un homme deux fois, et par mes deux orifices. Nous avons remis ça plusieurs fois, bien évidemment espacés de plusieurs jours afin de bien apprécier. Mais le besoin d’en découvrir d’autres s’est fait sentir. J’ai vite compris que tous les hommes n’étaient pas égaux, et que seuls les très bien montés m’apportaient LE plaisir que je recherchais. J’en ai testé un grand nombre, sans pour autant délaisser la gent féminine, restait prioritaire. Danielle était ma préférée, no limit, et un corps de rêve. D’une façon inattendue, Patrick s’est trouvé là, un soir de bringue. Quand il est arrivé à moi, je n’avais jamais eu un sexe aussi gros que le sien entre les lèvres. Déjà difficile à prendre en bouche, alors réussir à avaler toute la production qui en sortait relevait du défi ! Il restera celui à qui j’ai « taillé le plus de pipes ». Ses ressources étaient aussi abondantes qu’inépuisables. Notre entente sexuelle a duré plusieurs mois. Mes fesses ne se touchèrent ...
    ... plus souvent lorsqu’il se décida à y succomber, tant elles étaient écartées pour le recevoir. Et que dire des heures à le sentir s’écouler après qu’il a joui dans mon ventre. Un phénomène qui m’a beaucoup ouvert —et pas que l’esprit—, jusqu’à ce qu’une promotion lui fasse quitter la région. Quelques mois plus loin, j’ai connu un nouvel homme très très intéressant. Nous sommes rapidement devenus des « potes réguliers ». Un sexe long comme un jour sans pain, circoncis, mais terminé par un gland colossal. À l’image d’un poing fermé au bout d’un musculeux avant-bras, Franck pouvait naviguer une éternité entre mes reins. D’une infinie douceur, il s’amusait à me faire hurler de bonheur en me prenant tout doucement, mais… tout au fond de moi. Quel amant ! C’est le seul homme avec lequel il nous arrivait de véritablement “faire l’amour”, bouches soudées, nos langues enroulées pendant qu’il me prenait tendrement. C’est le seul que j’ai embrassé à ce jour. Et puis la vie m’a permis de découvrir d’autres régions, d’autres orientations professionnelles, d’autres gens, d’autres façons d’aimer et d’être aimé. 1. Münchener Freiheit ! Elle était belle comme le matin, blonde comme les blés, la croupe bien galbée et la poitrine ferme autant que haute. Elke (c’est son prénom) m’offrit simplement l’asile sous son parapluie, presque hilare de me voir courir sous cette pluie incessante en sortant du métro avec mon blouson sur la tête. Son sourire lorsqu’elle m’invita à l’abri révéla une dentition ...
«1234...9»