1. Münchner Freiheit Partie 1


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dans ma gorge, ses testicules frappent alors mon menton. Ses coups de reins sont réguliers, puissants, ses 20 centimètres de chair dure me baisent véritablement. — C’est ma queue dans ta bouche que tu voulais ? insiste-t-il en me limant, jouant le rôle de la brute à merveille. Tu veux bouffer du bavarois, je vais t’en donner. J’émets alors en réponse quelques sons pour lui signifier ma participation. Ma salive s’épaissit, comme toujours lorsqu’un « corps étranger » envahit l’arrière-bouche, et favorise ainsi ce viol sous contrôle. Sa queue est raide, il la manie avec rigueur, appuyant parfois mon front fortement contre son bas ventre et basculant alors son bassin d’avant en arrière pour bien s’enfoncer. — Tu la prends bien, tu m’excites. Je vais te donner mon foutre si tu tiens encore comme ça. Et je le veux, son foutre. J’avais du mal à tout avaler, tout à l’heure sur le pont. Mais là, il va tout m’envoyer directement entre les amygdales, je n’aurai d’autre choix que de tout le boire. Ses coups s’intensifient, ma bouche devient presque douloureuse, il va rapidement falloir mettre un terme à cet acte ! Je lui empoigne fermement les fesses et lui imprime alors un rythme plus fort. J’aime sa queue entre mes lèvres, mais je veux qu’il vienne, qu’il s’épanche en moi maintenant. Il me balance alors une série très rapide de superbes coups de sa queue turgescente en criant sa ...
    ... jouissance, puis s’immobilise en me collant son gland tout au fond, ses burnes contre mon menton, à la limite des haut-le-cœur. Une série de secousses traversent sa hampe, il ouvre les vannes, propulsant ses jets de sperme brûlant directement vers mon estomac. Et il n’en semble toujours pas avare, de son sperme. À demi étouffé, je le force à reculer. La dernière grosse salve crémeuse se répand alors sur ma langue, m’irradiant de ce goût si addictif. Un peu d’air revenu dans mes poumons, je déguste son jus en saisissant de mes doigts sa hampe gluante de ma salive. Je vais maintenant l’accompagner dans sa « débâcle », savourant les dernières minutes au contact de la queue de ce bel allemand, véritable catapulte à foutre. Son gland nettoyé, le prépuce se remet naturellement en place, et si sa queue a désenflé, elle demeure encore assez longue pour me permettre de m’amuser à l’aspirer, la mâchonner, finir mon travail de suceur. Plus tard, sur un papier, il me donne son numéro de téléphone en me disant que de temps en temps, il ne serait pas contre une petite visite amicale. Je le salue et retrouve presque avec plaisir l’odeur de la pluie dans les rues de Munich. Finalement, la soirée se termine presque aussi bien qu’elle a commencé. Débutée avec une belle blonde, elle finit avec un beau blond. Pourtant, le spectre d’Elke danse devant mes yeux. J’espère que j’aurai la chance de la revoir. 
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