1. Un amour d'Anaïs


    Datte: 11/02/2020, Catégories: fh, jeunes, Collègues / Travail amour, Oral pénétratio,

    ... n’existerait. Mais tandis que mes mains cherchaient la route de son ventre, je vis soudain ma fille qui me regardait, puis mes deux fils, puis ma femme. Anaïs dut sentir une retenue dans mon geste et un flottement dans mon regard. — Tu sais, me dit-elle, moi aussi je suis mariée.— …— Enfin bientôt. Je me marie dans trois mois. Et j’ai envie d’enterrer ma vie de jeune fille avec toi, comme toi tu as envie d’exhumer ta vie de garçon avec moi. Faisons-le une fois, sans remords ni regrets… Si tu veux… Je ne sais si c’est la sincérité de son regard brillant ou les mots qu’elle venait de prononcer, ou les deux probablement, mais mes doutes se dissipèrent à l’instant. — Oui, je veux, répondis-je. Et je baisai son cou, m’enivrant de son parfum. Mes lèvres descendirent le long de son épaule, puis de son bras jusqu’à ses doigts. Elle frissonnait. Je remontai ensuite pour venir l’embrasser. Mes mains caressaient sa poitrine encore vêtue, et je la sentais palpiter et m’appeler. Elle était petite mais terriblement tendue. Anaïs se découvrit et m’offrit au regard un soutien-gorge blanc ajouré qui semblait bien trop petit. Ses seins cherchaient à s’en échapper en des rondeurs hypnotiques. Je les aidai, bien sûr, plein de sollicitude, et je goûtai bientôt à ce parfum de myrtille, me plongeant dans leurs diaphanes reflets. Anaïs me releva, me souffla un «Viens» terrible, et se déshabilla. L’impétuosité de son désir l’emportait sur son envie de tendresse. Elle s’assit sur le bureau. Son ...
    ... sexe blond était un argument sans appel. Prestement, j’ôtai mon pantalon et je la pénétrai. Ce fut indicible. Elle se mordait les lèvres en imprimant de son ventre la pulsation et je lisais déjà dans ses yeux verts la détresse humide qui annonce la jouissance. J’ai détourné mon regard alors, me privant du flou de ses yeux qui chaviraient, qui m’eussent entraînés sans aucun doute avec elle dans l’abîme. Je l’ai fait pour tenir, tenir encore un peu, parce que je ne voulais pas jouir si vite. J’ai regardé la fenêtre et les fleurs tandis qu’elle se vidait. J’ai continué mes mouvements en elle, énorme comme je ne l’avais jamais été, et elle cadençait à sa guise, reprenant son souffle après son orgasme insensé. Ce sont ses soupirs et les cris qu’elle cherchait à retenir qui me guidaient, et puis les brûlures de ses doigts sur mes épaules. Elle s’était allongée sur la table et se laissait aller en gémissant. Ses cheveux épars coulaient en ruisseau sur les dossiers en désordre. Sa main droite se caressait le sein, et la gauche gisait mollement sur son flanc. Nous n’échangions pas une parole. Je me suis dégagé brusquement, et ma bouche est venue remplacer mon sexe. Le lieu était moite et rose. Je m’en délectai, débordant largement pour ne pas insatisfaire la moindre parcelle de chair. Au bout de quelques minutes, me fiant à ses soupirs qui s’intensifiaient, je me relevai, mais elle fut plus prompte et se mit debout devant moi. Elle passa sa langue sur ma poitrine, déposant un peu de sa ...