1. Découverte de la soumission


    Datte: 11/02/2020, Catégories: vacances, jardin, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, journal, fsoumisah,

    ... tête. Mais je suis prisonnière de mes sensations : mes mains touchent mes seins aux mamelons durs et aux tétons dressés, descendent sur mon ventre et d’un doigt curieux, je découvre ma vulve mouillée – ce qui ne m’est jamais arrivé à ce point ! – et mon clitoris enflammé de désir. Je ne me suis jamais caressée, j’aurais presque envie de commencer mais il faut que je retourne le voir. Je dois obéir, c’est plus fort que moi. Je ne prends même pas le temps de passer par la salle d’eau pour me rafraîchir, j’enfile cette petite robe blanche qui se boutonne sur le devant, directement sur ma nudité et je pars pour le rejoindre. J’entrouvre ma porte et observe le couloir à droite et à gauche avant de sortir, car je suis encore assez lucide pour craindre de croiser une employée de maison sachant que mon état n’échapperait pas au regard d’une femme, mais à cette heure-ci, le service est arrêté et la maison est vide. Arrivée en haut de l’escalier, dans l’appréhension de ce qui m’attend, mais aussi avec cet espoir insensé de plaisirs inconnus, je suis prise d’un orgasme qui me plie en deux. Je reste là, accrochée à la rampe, serrant convulsivement mon clitoris entre mes cuisses croisées. Mes seins me brûlent, ma respiration est haletante, entrecoupée de petits gémissements. Tout mon être, raidi, vibre de plaisir jusqu’à ce que je tombe assise, essayant de récupérer la maîtrise de mon corps et de mes idées. Épuisée, je me relève, je n’ai jamais vécu cela, c’est à la fois terrifiant et ...
    ... délicieux. Lentement et encore tremblante, je descends l’escalier et sors. Le soleil tape dur et, malgré le petit vent, la chaleur me tombe dessus, d’autant plus que ma robe, toute blanche, sans manches et au tissu très fin ne protège guère mon corps dénudé. L’impression est extraordinaire de sensualité : mes seins ballottent et, caressés par l’étoffe, mes mamelons rigides m’envoient des ondes délicieuses à chaque pas. Par contre, la perception de l’air sur ma vulve sans protection me donne l’impression d’être exposée à tous les regards et ça m’est plutôt désagréable sur le moment. Il n’y a plus personne devant chez Adrien. M’approchant, je vois un post-it collé sur la couverture de la revue : — Suis au Belvédère. A. Le belvédère est une sorte de terrasse circulaire, située à une douzaine de mètres du sol et coiffée d’un toit conique. On accède à cette terrasse par un escalier courant sur les murs d’une haute pièce située en dessous, un petit peu comme dans un phare marin. Cette construction, perdue dans les arbres, n’est pas en mauvais état mais n’a pas encore été restaurée ; en effet, le parc a été laissé à l’abandon durant une cinquantaine d’années et des arbres ont poussé au hasard. Actuellement, les jardiniers font des recherches pour retrouver le plan original du parc avant de faire les abattages qui s’imposent pour mettre cette construction en valeur. Je me réjouis de la discrétion d’Adrien et de voir qu’il cherche à cacher à des yeux indiscrets ce que je me figure qu’il ...
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