1. Découverte de la soumission


    Datte: 11/02/2020, Catégories: vacances, jardin, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, journal, fsoumisah,

    Journal intime Jusqu’à présent, je n’avais jamais ressenti le besoin d’écrire les événements de ma vie. Cependant, ce qui m’arrive mérite que je le consigne pour pouvoir y réfléchir en l’écrivant, me remémorer plus tard ces impressions si importantes aujourd’hui mais si fugitives quand le temps aura passé et, qui sait, laisser un témoignage pour un éventuel lecteur qui découvrirait ce cahier. Mais, commençons par me présenter (il faut que je me retrouve…). Je m’appelle Anne-Céline, j’ai 47 ans et suis mariée depuis 25 ans à François-Xavier Breillois de la Longinière, polytechnicien, qui a succédé à mon père à la tête d’un grand groupe pharmaceutique international. Son salaire de Directeur Général nous permet de vivre très à l’aise entre notre appartement du boulevard Haussmann, notre maison sur les hauteurs de Cannes et ce château en Dordogne, ma résidence préférée en été et où je me trouve actuellement. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, François m’a épousée par amour. Moi, c’était plutôt par désœuvrement et surtout pour pouvoir vivre l’existence d’une grande bourgeoise en dehors du carcan familial. Le sexe ne m’a jamais beaucoup intéressée ; pendant notre première année de mariage, soyons honnête, j’ai trouvé agréable les caresses de François. J’ai même parfois accédé à certains de ses désirs qui me dégoûtaient un peu comme de prendre son sexe dans ma bouche. Puis je suis tombée enceinte de Charles pour lequel j’ai eu un accouchement très difficile (il paraît ...
    ... que j’étais trop musclée…). Cela m’a détournée pendant longtemps de toute activité sexuelle et, si depuis je ne me suis jamais refusée à mon mari, je ne l’ai jamais plus recherché. Nous faisons chambre à part depuis une dizaine d’années. Je passe mon temps entre les activités sportives (je suis très fière de mon corps et je l’entretiens du mieux que je peux), les deux associations caritatives dont je m’occupe et une vie mondaine très développée. J’assiste mon mari dans tout ce qui concerne les réceptions inhérentes à sa fonction. J’aurai certainement l’occasion par la suite de développer certains de ces sujets car je voudrais en arriver à la raison pour laquelle j’entame ce journal. Mercredi 7 juillet Je suis au château depuis deux jours pour y passer une quinzaine de repos, seule. Charles devrait m’y rejoindre le 18 pour quelques jours, avant le stage « professionnel » exigé par son école d’ingénieur. Comme tous les jours après le déjeuner, je pars faire une marche sportive d’une dizaine de kilomètres dans le parc et dans la magnifique campagne qui l’entoure. Le soleil est là, mais une petite brise fraîche vient en atténuer l’ardeur. Je suis vêtue d’une jupe trapèze en lin écru et d’une blouse en soie blanche, un chapeau de paille sur la tête et des chaussures de marche légères. Sur les conseils de mon coach, j’emporte aussi un bâton de marche télescopique en métal léger, pour m’aider à bien rythmer mon pas. Contrairement à mon habitude, ce jour-là, pour rejoindre le parc, je ...
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