1. Découverte de la soumission


    Datte: 11/02/2020, Catégories: vacances, jardin, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, journal, fsoumisah,

    ... va me faire. En route, mon imagination va bon train ; je rêve de scènes érotiques, toutes plus lascives les unes que les autres. C’est dans cet état d’excitation que j’arrive au pied du belvédère. La porte en bois est entrouverte, je la pousse doucement et entre, guillerette. La pièce, éclairée par toute une série de fenêtres sur le pourtour, est relativement claire, un rayon de soleil dessine même un rectangle éblouissant sur le sol. Je distingue tout de suite Adrien, assis sur les dernières marches de l’escalier. Il a enfilé un t-shirt noir. — Eh bien, t’as mis le temps ! Le ton, coupant, arrête mon élan. Refroidie soudainement, je m’immobilise, les bras ballants, ne sachant que répondre. — Avance. Mets-toi dans la lumière. Consternée, j’obéis puis, humblement, je lève les yeux sur lui. — Ah, tu es moins fière maintenant. Tu as perdu tes grands airs… Tout à coup, je prends conscience que l’excitation sexuelle qui m’habitait se transforme en une autre sorte de trouble. La soumission que je ressens vis-à-vis de cet homme m’apporte du calme et de la sérénité qui apaisent un peu mes sens. C’est une jouissance différente mais tout aussi profonde. — Ouvre ta robe et montre-moi ton corps… Doucement ! Ce dernier ordre claque alors que je me précipitais pour ouvrir les boutons. Comprenant la volonté d’Adrien, je regarde alors comment je suis éclairée par le rayon de soleil ; je me déplace légèrement pour être en plein dedans. Lentement, en le regardant dans les yeux, je déboutonne ...
    ... les six boutons qui ferment la robe puis, peu à peu, j’écarte les pans, dévoilant ma nudité. Le simple frôlement du tissu est presque douloureux sur mes tétons, tellement ils sont sensibles et, surprise immense, je sens un liquide visqueux couler entre mes jambes (moi qui ai presque toujours été obligée d’utiliser de la vaseline dans mes rapports sexuels !). D’un coup d’épaule, je fais glisser la robe qui se dépose à mes pieds. Je suis totalement nue devant lui. Son regard s’attarde sur mes seins dressés puis sur mon ventre plat et, enfin, sur la toison qui garnit mon pubis. Toison que je n’ai jamais eu à entretenir car elle se limite naturellement. Aucun poil ne pousse dans les plis de l’aine et les lèvres de mon sexe sont garnies d’un très fin duvet quasiment transparent. Je sens le poids de son regard sur ma peau qui s’enflamme presque autant que s’il m’avait touché. À nouveau, je suis parcourue d’ondes de chaleur. Tout mon être réclame des caresses pour calmer cette attente presque douloureuse. Ayant achevé son examen, son regard remonte vers mon visage. — Baisse les yeux et tourne sur toi-même, lentement. Je réalise alors que je le regardais avec un air de défi qu’il ne pouvait accepter. Je baisse la tête et, glissant insensiblement les pieds, j’entame une rotation complète. Ces tout petits mouvements qui font jouer la plupart des muscles de mes jambes, se répercutent jusque dans mes petites lèvres et mon clitoris. Le tour terminé, de nouveau face à lui, je me trouve dans ...
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