1. Découverte de la soumission


    Datte: 11/02/2020, Catégories: vacances, jardin, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, journal, fsoumisah,

    ... ma poitrine a durci, et que mon sexe est devenu sensible et semble humide ; sensations inconnues qui me bouleversent. Le temps de calmer ma respiration devenue haletante, je m’arrête et je ferme les yeux. — Alors, on mate ? Ces paroles explosent brutalement dans mes oreilles. Je suis perdue ! Il a baissé sa revue et me fixe en plissant les yeux. — Approche ! Sans me lâcher du regard, il se lève lentement. Son sexe, dressé devant lui m’hypnotise. Je perçois un sursaut lorsqu’il me reconnaît : — Viens ici ! Il n’a pas modifié son ton, il va sans doute se venger de toutes ces années de servilité que je lui ai fait vivre. Je suis paralysée par la honte, je ne suis même pas choquée par le tutoiement. En dehors de toute volonté de ma part, je sens mes jambes qui avancent et qui m’approchent de lui. Mon regard ne peut quitter son pénis qui balance doucement devant lui. — À genoux, et suce ! La parole est sèche et péremptoire ; subjuguée, je tombe à genoux devant lui. Dans le mouvement, il me prend mon bâton de marche et avec, envoie balader mon chapeau de paille. Son sexe est là, raide juste devant mon nez, plus fin et plus long que celui de François, autant que je me souvienne. D’une main hésitante, je le prends et j’y pose les lèvres. — Vas-y, qu’est-ce que tu attends ? Je ne sais trop que faire. Je le prends dans ma bouche et j’aspire. — Mais, qu’est-ce que tu fais ? Tu ne sais pas faire une pipe ? Commence par lécher, comme une glace… Et puis, ouvre ton corsage. Perdue, ...
    ... affolée, je le tiens de la main droite et le lèche de grands coups de langue tout en déboutonnant maladroitement mon corsage de la main gauche. De la pointe du bâton, il écarte les pans du vêtement et me regarde : — Mais, c’est quoi ça ? dit-il en posant le bâton sur mon soutien-gorge. Ce contact m’électrise et un énorme et délicieux frisson me secoue toute entière. Je ne comprends pas sa question, il doit s’en rendre compte. — C’est quoi ce bandage sur tes seins ? Et il continue de tapoter ma poitrine. Je voudrais qu’il n’arrête pas, tellement c’est bon. Et puis, je réalise que, comme toujours pour mes longues marches, je porte un soutien-gorge sportif, genre brassière de tenniswoman, pour maintenir fermement ma poitrine, devenue plus lourde avec l’âge. Je lui explique tant bien que mal d’une petite voix que je ne reconnais pas. D’un geste violent du bâton qu’il tient toujours en main, il me montre le château. — Eh bien, va te changer ! Si tu reviens, je veux te voir nue sous la petite robe blanche que tu portais en arrivant ici. Et je t’apprendrai à me sucer comme il faut. Encore une fois, je ne maîtrise pas mon corps. Je me relève, ramasse mon chapeau et… je me retrouve dans ma chambre. J’ai perdu tout souvenir du comment j’y suis arrivée. Là, nue, dans ce décor familier, je réalise ce que je suis en train de faire. « Mais, qu’est-ce qui m’arrive ? Qu’est-ce qui me prend d’écouter ce type ? D’accepter qu’il me parle ainsi ? Et de lui obéir ? » Ces paroles tournent en rond dans ma ...
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