1. Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3)


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Transexuels

    ... corps, à travers les douces matières dont j’étais vêtu, les sensations étaient décuplées. Il devait être trois heures du matin et mon corps était en train de finir de se réveiller, il était chaud. Au bout de la chambre il y avait une petite lampe de chevet avec un abat-jour en verre de couleur vert anglais. De très légers reflets de cette lumière éclairaient le visage de Claude, il me faisait maintenant envie. En fait cette nuit, il avait réveillé la femme qui sommeillait en moi, je crois qu’il savait y faire car il en avait très envie. Mes jambes qui étaient gainées de bas satinés, se frottaient contre ses cuisses cela m’excitait encore plus. Il s’est arrêté de tout faire, pour récupérer son oreiller pour venir de déposer sous mes fesses, il était évident qu’il voulait se faciliter l’accès à mon petit trou. Mes suppositions ont rapidement été confirmées, quand j’ai senti la pointe de son sexe venir se coller contre mon issue de secours. J’ai essayé de me décontracter au maximum ma rondelle pour qu’il puisse se faufiler en moi sans aucune douleur. Ça y est, maintenant je le sentais coulisser ou plutôt s’enfoncer en moi, j’avais l’impression que son sexe était sans fin, tellement il progressait lentement en moi. Désormais, je remplissais toutes les missions d’une femme, à savoir, me faire désirable et surtout me faire honorer. Une fois arrivé en butée, il n’a pas été bien long à se mettre à aller et venir en moi. Pendant qu’il était en train de me défoncer la rondelle, ...
    ... régulièrement il faisait une petite pause pour m’embrasser avec passion, je trouvais l’attention très touchante. D’après ce que j’avais compris dans ses explications, cela faisait des années qu’il tirait sur l’élastique tout seul et qu’il n’avait pas eu de rapport sexuel avec Muriel. Avec moi sous la main, il était en train de rattraper le temps perdu, mais il n’en restait pas moins très doux avec moi. Au bout de dix bonnes minutes, j’ai cru qu’il allait partir en moi, mais non il a changé de position pour que je me retrouve à nouveau devant lui, mais ce coup-ci il avait rabattu l’avant de ma robe pour soulever l’arrière et que nous nous rendormions comme tout à l’heure mais avec son sexe en moi. À vrai dire, je n’y voyais aucun inconvénient car j’avais quand même envie de dormir. Claude n’avait pas encore envie de dormir, il voulait me balancer sa purée dans mes entrailles. Il s’est ainsi accroché à mes épaules et il a commencé à me ramoner fermement le boyau, je ne sais pas si c’était la position, mais il me faisait un bien fou. Nous étions là tous les deux pour ainsi dire dans le noir, seuls les grincements du lit rompaient le silence de la nuit. Il a fini par tout me balancer dans le conduit et a quand même continué un petit peu, ces quelques instants de prolongations ont été si bons, qu’ils ont fini par me faire éjaculer moi aussi. — Tu sais Franck, tu me donnes tous les plaisirs dont je rêvais jusqu’à maintenant. — Je t’avouerai des choses de plus tard, mais pour l’instant je ...
«1...3456»