Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3) - Histoires de Sexe

Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3)

... suis très heureux de pouvoir partager ma première nuit avec toi. C’est sur ces mots très gentils que nous nous sommes endormis, le mâle emboîté dans sa femelle. Il m’a fallu quand même un petit peu de temps pour me rendormir, car quand on n’a pas l’habitude, cela fait quand même tout drôle d’avoir un morceau de chair dans son petit trou. C’est vers onze heures que les femmes sont venues nous réveiller, j’ai trouvé ça très sympa mais en même temps un peu gênant. C’est comme si dorénavant, chez Claude mon rôle changeait, je n’étais plus le mari de Patricia mais l’amant du patron de ma femme. Le plus beau c’est que quand nous nous sommes réveillés, j’étais toujours lové dans les bras de Claude et son sexe était toujours coincé par mes fesses. Petit détail, je pense que cela devait bien sentir le mâle sous les draps. — Alors le mâle et sa soumise vous avez passé une bonne nuit ? Ce n’était pas très flatteur à mon égard que de me qualifier de soumise, mais les propos de Muriel étaient ainsi. En même temps il fallait reconnaître que ma tenue et ma position ne plaidaient pas en ma faveur. Ma femme qui me regardait avec un grand sourire est venue m’embrasser avec gourmandise, elle avait l’air fière de moi. Bien évidemment Claude qui ne pensait qu’à ça s’était remis à me caresser, pour mon plus grand plaisir. Quand nous sommes descendus, le petit-déj était près, et nous l’avons pris tous les quatre. En fait pour nous laisser dormir tranquillement ...

... les femmes s’était levées et avait rangé et nettoyé les traces du dîner de la veille. Cela me faisait tout drôle, car à table j’avais une main de Claude sur une cuisse, et sur l’autre une main de Patricia. — Je pensais que je t’entendrais crier mon chéri hier soir, mais rien. — Nous avons juste entendu le lit grincer par moments kjkaant Il n’y a pas à dire, les deux femmes étaient très complices. Elles avaient des regards qu’elles seules pouvaient comprendre, elles riaient sur les mêmes bêtises qui ne prêtaient pas à rire. Cela me faisait tout drôle de me retrouver en femme, à table, avec un homme qui accessoirement était le mien. De temps à autre, je sentais quelques relents d’odeur de sexe, à vrai dire avant de descendre, j’étais passé aux toilettes pour me défaire de toute la semence de Claude. Je m’étais bien essuyé mais manifestement il en restait encore un peu. — Tu sais mon chéri, Muriel m’a raconté un peu sa triste vie sexuelle avec Claude. Autant tout à l’heure je n’étais pas très fier qu’on me traite de soumise, autant maintenant c’est Claude qui en prenait pour son grade. Patricia avec le mérite de ne pas passer par quatre chemins, elle allait droite au but. — En fait Muriel voudrait te demander une faveur. — Tu es libre d’accepter ou de refuser. Pourquoi ma femme était si longue à cracher le morceau ? Vous le saurez dans le prochain chapitre. Gros bisous à vous et n’oubliez pas j’adore les commentaires auxquels je réponds toujours.