Vestibule.. une femme épanouie et toujours amoureuse
Datte: 14/02/2020,
Catégories:
fhhh,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... peut-être un peu moulante. Je devine sa culotte, je vois le contour des mamelons,… moi. Le prof s’est installé au bureau, je l’entends tourner les pages. Il pose quelques questions. Je peux voir O. qui s’est assise sur le canapé-lit juste en face de la porte dans le prolongement du couloir. Le Prof. a finit et va nous quitter avec quelques formules d’encouragement. Il semble attendre qu’elle lui tende la main pour partir. Il semble maintenant vouloir se pencher en avant pour lui faire la bise ( ???) Elle s’appuie plus en arrière sur les deux coudes. Le prof. hésite un instant puis se penche plus en avant au-dessus d’elle, jusqu’à devoir prendre appui sur le canapé, elle est maintenant allongée sur le dos, il lui dépose une bise – je crois sur le nez. Il lui caresse le visage, sa main passe sur l’oreille, descend le long du cou. Ses doigts s’accroche dans le décolleté et il profite de ce que la robe est élastique pour tirer vers le bas et lui mettre les seins à l’air. Elle se redresse un peu et lève les yeux vers le prof planté devant elle. Sa poitrine est superbe. Elle se cambre encore un peu, veut se donner l’air de celle qui n’est pas du tout impressionnée par la tournure que prennent les événement mais sa voix trahit l’émotion : — tu voulais voir mes seins, maintenant tu les as vus… dit-elle Il ne répond pas, il reprend le tissus et tire plus bas. La robe se roule jusqu’aux hanches, à hauteur du nombril. Cour instant d’hésitation puis la robe passe sous les fesses d’O. ...
... et le prof s’accroupit pour faire passer la robe autour des sandalettes. O. se redresse, assise sur le bord du lit, elle ne porte plus qu’une culotte dont l’élastique sur le côté est aussi fin que les lanières des sandales. Indifférent, il dégrafe et enlève son ceinturon qu’il pose sur le lit, il se déchausse puis enlève son pantalon. Les joues d’O. rosissent, son ventre se contracte, le halètement qu’elle a du mal à contenir donne aux seins un petit ballottement . Elle observe le boxer-short du prof sans rien dire. Il s’avance, la prend aux épaules et la pousse lentement en arrière. Dès qu’elle repose sur le dos il s’agenouille entre ses jambes et tire vigoureusement sur la petite culotte qui est maintenant au- dessus des genoux. O. garde les jambes légèrement écartées pour empêcher que la culotte ne descende plus bas. Le Prof découvre un duvet très fin, une vulve parfaite : La saillie est très longue, les grandes lèvres ne sont pas très charnues mais parfaitement formée et généreusement ouvertes. O. encore un peu réticente lui présente un superbe clitoris. Plutôt que de tirer en force sur la culotte le prof s’agenouille et commence à lui chatouiller le ventre de la langue, il est parti du nombril et descend lentement, lui mordille le mont de Vénus, suçote,… O. émet un gémissement et referme les jambes. Il lui enlève le slip avec précaution. Elle pourrait se lever, dire que cela suffit mais elle reste sur le dos. Le prof. la prend à pleine mains sous les fesses pour la faire ...