1. Vestibule.. une femme épanouie et toujours amoureuse


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhhh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... glisser plus en arrière. Il monte s’agenouiller sur le divan au-dessus de la jambe d’O. . Son genou gauche est bien encastré entre les cuisses d’O. , il repose sur la jambe d’O. qui est immobilisée. Il prend à sa gauche et à a deux mains l’autre genou d’O., lève la jambe et la bascule vers la droite. La jambe est un formidable levier qu’il manœuvre jusqu’à trouver la plus jolie position : Cette pauvre O. est dans une position plutôt instable mais le galbe de ces fesses sont un spectacle merveilleux. Le spectacle de ce cul est obscène et excitant. Il laisse glisser son doigt depuis le bas du dos, suis la raie des fesses, tourne au tour du trou. Il change de doigt, c’est son pouce qui suit la ligne jusqu’à l’échancrure de la vulve. Il masse gentiment la base du clitoris. Le prof est plutôt vaginal : il porte la jambe à mi-hauteur et la pousse en avant sur O. dont la vulve s’ouvre en beauté comme une fleur à maturité. Comment en vouloir au Prof. qui devant ce sexe béant et luisant laisse son membre sortir du caleçon, regarde O. dans les yeux en venant se placer… – puis pousse en un coup jusqu’à la garde. O. est perdue. Je suis le manant amoureux et jaloux d’une ...
    ... princesse qui vient de trouver son prince : Elle lui sourit, rayonne, geint, crie, l’encourage, j’entends le clapotis des deux sexes qui s’entremêlent. O. prend les mains du Prof. et l’invite à inverser les rôles. Il s’allonge à son tour sur le canapé et elle vient à califourchon sur son ventre, elle l’embrasse à pleine bouche, lui mordille les lèvres. Elle se soulève un peu pour venir se placer juste au-dessus de la colonne en pleine érection. C’est maintenant elle qui décide, elle se caresse avec la pointe de l’asperge, elle prend le sexe à pleine main pour pouvoir le guider, elle danse, se contorsionne au-dessus du sexe puis se laisse descendre tout doucement. Elle repose de tout son poids sur le prof qu’elle ne peut plus s’enfoncer plus profond. Voulez vous que je vous raconte qu’O. ne manquait ni de créativité ni de bonne humeur, que ce soir-là derrière mon rideau de penderie, j’ai eu des larmes dans les yeux, - et pas seulement dans les yeux, et qu’elle n’a jamais su que j’avais été derrière le rideau, nous n’en avons jamais parlé. Nous nous sommes mariés, elle m’a offert beaucoup d’enfants et de nombreuses récidives. Je l’aurai beaucoup aimé. Elle non plus. 
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