1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°755)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°753) - Quelques moments inattendus - Dès notre retour chez Monsieur Armand, le Maître m’informe : - Tu as besoin de te reposer Mon chien, tu resteras enfermé pour tout le restant de la journée dans cette cage dissimulée dans le placard mural. Moi j’ai à faire, avec deux ou trois réunions préparatoires pour organiser ces Mondiaux de la Domination/soumission au Château. J’exige que tu dormes ! Je sais à quoi m’en tenir. Le Maître encage ma nouille, me libère les mains toujours attachées dans le dos et m’ordonne de me coucher dans cette modeste cage où je ne peux tenir debout. L’espace est tellement restreint que je dois me recroqueviller et me tenir en chien de fusil. La lourde porte avec d’épais barreaux en acier est refermée et cadenassée, la porte du placard elle aussi est repoussée, me voici dans l’obscurité la plus totale, séquestré, ne pouvant à peine bouger... Combien de temps vais-je rester ici ? Seul le Maître le sait… Alors plutôt que de ronger mon frein, plutôt que me désoler, plutôt que de laisser surgir mes craintes ou peurs, je préfère me détourner du présent pour me tourner vers ce futur indéterminé. N’y a-t-il pas dans ce temps séquestré une volonté du Maître à me faire découvrir une autre façon de vivre ma soumission près de Lui ? Pendant de longs moments je réfléchis, et au final accepte le renoncement avec un bonheur certain. Je vois dans cet abandon un surcroit de clairvoyance et ...
    ... de force me permettant de mieux vivre encore mon asservissement. Et donc par toutes ces pensées qui me traversent l’esprit, je dois bien reconnaitre que cet abandon total, cet asservissement, cette séquestration m’excitent rien que d’y songer et j’avoue que ma cage de chasteté est bien trop petite et contraint une érection qui ne peut se faire mais l’excitation étant bien présente en moi, je bande moralement à défaut de ne pouvoir bander physiquement… Combien de temps suis-je resté ici, seul, à méditer, à sommeiller ou à dormir, je n’en sais rien… une chose est sûre, lorsque le Maître décide de me faire sortir de ce réduit, je sens la bonne odeur du café, alors je suppose que l’on est le matin ! - Alors ma pute, as-tu passé une bonne nuit ? - Oui Maître, merci Maître. J’ai du mal à me déplier. Mes membres sont ankylosés. - Qu’attends-tu pour te prosterner devant moi, ma bonne pute ? J’obtempère dans l’instant, craignant une brimade de bon matin. En lieu et place, le Maître me caresse le dos avec l’un de ses pieds nus. Un frisson me parcourt l’échine. - Viens, mon chien, suis-moi. A quatre pattes, je suis Monsieur le Marquis jusqu’aux toilettes. Là, il baisse son jeans et s’assied sur la cuvette des WC. - Approche ma putain, j’ai besoin de ma petite pipe matinale ! Comme un automate, je m’agenouille devant lui entre ses cuisses ouvertes. Je prends cette verge semi-molle d’une main et l’embouche gloutonnement. Mais un coup de pied dans mon mollet gauche me fait dire que j’ai du ...
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