La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°755) - Histoires de Sexe

La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°755)

... tenir les cuisses toujours largement écartées lorsque je suis assis. J’assumerai donc la punition, puisqu’erreur de ma part il y a ! Le Maître rajoute simplement : - Nous allons faire quelques courses à Genève, tu as intérêt de te comporter tel que je le veux ! Ce matin, Genève est plus calme que l’avant-veille. La voiture s’arrête devant une luxueuse devanture d’un Maître Chocolatier suisse mondialement réputé. - Suis-moi ! me dicte Monsieur le Marquis. Nous entrons dans ce luxueux magasin, un tea-room en fait, ou d’un côté, des merveilleuses pâtisseries haut de gamme sont exposées, de l’autre, coté chocolat chaque boîte ressemble ici à un puzzle graphique où se côtoient des pralinés d’une grande délicatesse, des petites plaques de 50 grammes de chocolats du monde entier, des truffes au chocolat, à l’allure de truffes du Périgord et bien d’autres délices aux multiples saveurs. Monsieur le Marquis est servi par une femme charmante d’une impressionnante élégance. Elle lui faisant gouter un grand praliné à la cacahuète et au caramel, puis une truffe au délicieux parfum de vanille, puis encore un chocolat à la liqueur. Le Maître se délecte, moi j’attends, tête basse dans un coin. Puis Monsieur le Marquis achète cinq gros ballotins, mais aussi un grand nombre de magnifiques tablettes de chocolat noir, les plus chères. Lorsque je vois le prix s’afficher, je blêmis… Le Maître lui non ! Il sort sa carte American Express et règle sans sourciller. Avant de partir, il dépose avec un ...

... large sourire un billet de 500 euros sur le comptoir à titre de pourboire. Je suis chargé de porter les paquets. Nous regagnons la voiture. A peine faisons-nous cinq cents mètres que le véhicule s’arrête de nouveau, cette fois-ci devant la très belle devanture richissime d’un joaillier, de renommé mondiale également. - Allez viens mon chien. Un vigile se tient devant l’entrée de ce somptueux magasin. Nous y entrons. Le magasin est désert, seul deux hommes en costume impeccable derrière le comptoir nous accueillent. - Bonjour Monsieur le Marquis d’Evans, comment allez-vous ? lui dit l’un des deux bijoutiers. - Très bien merci et vous Cher Monsieur Philips ? - Je vais toujours très bien en vous voyant Monsieur le Marquis ! lui répond-il avec un petit sourire malicieux mais empli de respect, voire d’admiration - Avez-vous quelques montres à me vendre ? demande le Maître, tout en me désignant de son index un fauteuil sur lequel je dois manifestement m’assoir. - Nous venons d’en recevoir de nos ateliers et de nos fournisseurs renommés, de très belles pièces Monsieur le Marquis, d’un mécanisme exceptionnel. Je vous les fais découvrir, un instant s’il vous plait. L’homme ouvre un lourd coffre-fort derrière lui et présente sur un écrin de velours une dizaine de montres, toutes plus luxueuses les unes des autres. - Elles sont magnifiques ! lance le Maître - Je vous l’avais dit Monsieur le Marquis, ce sont des montres d’exception, regardez celle-ci, elle a un look très particulier, très ...