1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°755)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... commettre un impair. - Mets tes mains dans le dos, la pute ! Et écarte les cuisses mieux que ça ! Docilement, je croise mes poignets sur mes reins, m’offre et entreprends une fellation avec application et dévouement afin que ce Noble Sexe durcisse rapidement. Je salive abondamment et le fait coulisser entre mes lèvres serrées. Le voilà droit, bien raide et dru, une belle et généreuse érection qui fait naitre chez moi une véritable adoration et vénération de ce membre planté profondément en bouche. Quel bonheur de sentir ce sexe complètement érigé. Je le suce, l’avale, le recrache pour l’aspirer mieux encore et recommence une énième fois jusqu’au moment où le Maître me stoppe subitement en me tapant sur mon crâne. - Stop, arrête ! Allez c’est bon ! hop ! Je suis déçu, sinon frustré. Je relâche ce membre en détournant mon regard afin de ne pas croiser les yeux du Maître. - Montre-moi ton cul, Ma pute, m’ordonne-t-il Je me retourne avec difficulté dans ces toilettes étroites, puis me penche en avant, tête au sol pour présenter mes fesses. Lorsque Monsieur le Marquis me pose l’une de Ses Mains sur le dos, je sens un frisson me parcourir. Cette main brulante caresse mes fesses longuement, massant mes lobes. Ma respiration s’accélère, je gémis même, livré à sa lubricité, mon être tout entier réagit. Ma nouille baveuse cherche désespérément à s’épanouir dans cette cage devenue soudainement, et encore une fois, trop étroite. Je prends un plaisir fou à me faire palper le cul comme ...
    ... une bonne catin. Je me surprends même à pousser un petit cri lorsque je sens un doigt chaud sur ma rondelle. - Tu as vraiment un joli et charmant petit trou, ma pute, devenu très accueillant depuis que tu prends régulièrement des queues, depuis que je t’ai appris à utiliser ton trou ! Je tremble de tout mon corps, tant je suis excité. Je gémis même sentant ce majeur chaud jouer avec ma rondelle et pénétrer en moi. Il entre, sort, tourne, puis se met à étirer mes parois rectales en de rudes tractions. Je ne sais plus où je suis, humilié et pantelant de désir. Un second doigt se joint au premier et pendant quelques minutes encore je suis pénétré, étiré. - Tu es bien chaud ce matin Mon chien ! Tu t’ouvres aisément… Le Maître retire ces deux doigts laissant mon cul béant. Me Voilà de nouveau frustré. Je ne bouge plus… - Redresse toi Ma salope et viens t’enculer sur Ma Noble Queue telle une catin assoiffée. Dépêche-toi, Ma pute ! Je suis fou de désir, ma nouille cherche désespérément à se déployer. Les jambes tremblantes, je me relève maladroitement. A reculons, jambes écartées, je viens m’assoir lentement sur les cuisses du Maître, tendant les fesses en arrière jusqu’à sentir Son gland brûlant sur ma rondelle. Peu à peu je me sens pénétré. Je m’offre et m’ouvre facilement. Une légère douleur vite estompée par une sensation de chaude plénitude m’envahit subitement. En fléchissant les jambes, je me laisse descendre sur ce chibre turgescent et si raide comme un ‘I’ dressé, éveillant ...