1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°755)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... plus encore de voluptueuses sensations et je m’empale profondément. Mon anus se contracte sur cette tige drue et dure alors qu’au même moment j’ondule des reins comme une chienne en chaleur. Qu’il est bon d’entendre le Maître gémir. Il me caresse les hanches, mon dos, mes épaules, mes fesses. Poussant sur mes cuisses plus vigoureusement, j’accélère mes déhanchements pour m’empaler plus activement, comme si j’étais pressé d’en finir… Monsieur le Marquis semble lui aussi très excité, son pénis long et dur palpite en moi, ses doigts rudes s’emparent de mes tétons érigés de désir et me les tordent cruellement. Je me lance alors dans une course folle à cheval sur Ses genoux, martelant mes entrailles sur cette grosse queue dressée, tout en resserrant mon anus irrésistiblement. A cet instant, Monsieur le Marquis pousse un râle, son corps s’agite, se crispe soudainement, ses bras entourent à ma taille comme s’Il ne voulait plus que je bouge puis décharge longuement et abondamment… Je reste quelques instants hors d’haleine, assis sur le Maître, totalement comblé, rempli, souillé… Une claque tombe sur ma cuisse droite ! - Allez ouste, debout ma salope, tu as bien travaillé, tu peux aller prendre ton petit déjeuner. Ma gamelle m’attend, toujours au même endroit, au pied du lavabo, dans la salle de bain. Je l’avale avec appétit puis sur ordre, je prends une douche bien chaude et revigorante. A peine suis-je épongé et séché, que je vois le Maître s’approcher de moi, un stylo Marker à la ...
    ... main. Sans mot dire, il dessine une petite croix noire sur ma poitrine. Qu’elle est sa signification ? Pour l’heure, je n’en saurai rien. - Approche salope que j’ôte ta cage de chasteté. Chose faite, nouille tendue, je saute dans un jeans que le Maître me tend, puis enfile une chemise blanche et un blazer bleu marine. Je chausse ensuite une paire de chaussettes et des mocassins vernis. Le fait d’être habillé me trouble presque, ayant pris l’habitude de la nudité. - Nous partons ! me dit le Maître sans que je sache où nous allons. Ce matin, le soleil brille et éclaire la cour, une luxueuse berline noire aux vitres teintées nous attend, un chauffeur est installé au volant. Celui-ci n’a rien à voir avec le sieur John de la veille. Ganté, coiffé d’une casquette dans un costume noir parfaitement taillé, il s’empresse d’ouvrir la portière arrière: - Je vous en prie Monsieur le Marquis ! dit-il en se courbant légèrement - Monte ! m’ordonne le Maître. Je m’installe sur la banquette arrière, près du Maître. La voiture démarre et prend la direction de Genève, sans même que Monsieur le Marquis ait donné une quelconque consigne au chauffeur. En cours de route, le Maître me pose sa main droite sur ma cuisse gauche la tirant vers Lui : - Ecarte les cuisses ! M’ordonne-t-il Un rappel à l’ordre qui me fait blêmir. Je présente dans l’instant mes plus humbles excuses - Nous règlerons ça plus tard ! me dit sévèrement le Maître. Un oubli de ma part, je m’en veux, pourtant je le sais qu’il me faut ...