1. Hélène 5 : Une si longue attente, 1ére partie.


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mais je suis quand même normalement constitué. Il va falloir que tu assumes les conséquences de tes frottis frottas. Dans le canapé, ou dans le lit ? Je pouffe en le prenant par la main et l’entrainant vers l’étage. - Dans le lit, on ne risque pas de tomber ! ooOoo Samedi soir… - Chéri, je t’attends dans notre chambre. - Je range la vaisselle, je mets la machine en route et j’arrive. Le spectacle, que je lui ai préparé, le stupéfait. Je suis à genoux sur notre lit. Ma tête est posée sur l’oreiller, mes mains ont empoigné mes chevilles, j’ai troussé mon kimono, et j’expose mon cul orné du rosebud. Mes cuisses sont entre-ouvertes. On distingue une rosée discrète sur mes lèvres secrètes. Sur le lit, j’ai posé la cravache en évidence. Il s’assoit à côté de moi, et me glisse sa main à l’intérieur de ma cuisse, je frémis. - Tu as de la suite dans les idées. - Chéri, deux petits coups. Minaudé-je. - Je ne peux pas mon amour. Je me redresse et m’assoie à côté de lui, j’attrape son bras et pose ma tête sur son épaule. Sa douce odeur m’enveloppe. - Pierre, s’il te plait, à partir de lundi, je vais dormir seule et me réveiller sans toi toute une semaine. Je veux te sentir en moi d’une façon ou d’une autre. - Je n’ai pas envie. - Mon amour, je suis ta soumise, tu dois satisfaire mes désirs. Et puis, comment pourras tu me fouetter, si tu ne le fait pas quand je suis demandeuse. - Ce n’est pas un raisonnement. Le refus de mon amour me bouleverse. Je m’effondre, je me tasse. Je baisse ...
    ... les yeux, la ceinture du kimono s’est ouverte, je vois mes seins tombants, les bourrelets de mon ventre, mes cuisses charnues étalées sur l’assise du lit. Je me sens grosse, je suis moche. Mon amant, mon sultan adoré, me repousse. D’un coup, j’ai une sorte de boule qui m’oppresse. Cette douleur dans la poitrine, c’est celle que j’ai ressentie quand j’ai cru le perdre après notre première nuit. Je m’agrippe à son bras comme une naufragée. Je sens l’eau qui monte, les larmes coulent de mes yeux, je ne pleure pas, c’est seulement un trop plein qui s’écoule. Je ne veux pas être seule ! Un morceau de drap me tamponne les yeux. Je m’appuie sur sa poitrine, toutes les eaux du monde s’écoulent par moi. - S’il te plait, s’il te plait, s’il te plait. Je sanglote. - Oui. Je relève la tête vers mon chéri, une grosse larme se forme dans son œil droit. Mon Pierre pleure avec moi. Je me plaque contre lui. - Oui, ma beauté. Repete-t’il. Il m’a appelé « ma beauté ». Ma boule disparait instantanément, je continue de pleurer, je le serre à l’étouffer. Je suis si bien, mais je ne veux pas laisser passer ma chance. - Je veux les seins, et le cul. - Tu es trop dure. Nous ne nous disons plus rien. Nous restons enlacés l’un contre l’autre. Doucement la crise passe. - Maintenant, Pierre, fais-je en m’écartant. Je me sens prête pour ce sacrifice dont je suis à la fois la victime et le bourreau. - Tu commences par la poitrine. Je me dirige vers la barre, pour m’y crucifier. - Non, Non, tu ne seras pas ...
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