1. Hélène 5 : Une si longue attente, 1ére partie.


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dessous n’ont autant érotisé mon corps. Mes beaux seins sont présentés comme pour une invite au baiser, voire à la morsure. Les petits kilos en trop de mon ventre sont galbés sans être écrasés, ils participent de l’équilibre de ma silhouette. Ma taille est affinée, resserrée mais pas étranglée. Mon cul encerclé par la dentelle et les jarretelles est magnifié, sublimé, un vrai appel au martinet. A cette pensée, je ressens une bouffée de chaleur, je rougis. - Ca va Hélène. - Oui. Je redescends sur terre. - Je prends l’ensemble. Je me change. Pouvez-vous les emballer pendant que je me rhabille. Je sors de la cabine, mon colis est prêt, je paye et au moment de récupérer ma carte. - Hélène, je peux vous inviter à déjeuner ? Me propose Odile - Oui, ce sera avec plaisir. Odile m’entraine dans un italien, nous passons les commandes et demandons un Valpolicella. - Vos si beaux seins, votre beau cul. Pourquoi vous a-t ‘il fouettée? Me questionne Odile. - Parce que je lui ai demandé. Pierre est absent. Je voulais avoir sur moi sa marque, comme lui porte la mienne. - Vous le fouettez ? fait-elle incrédule. - Non, lui réponds-je. Vous vous souvenez que vous m’aviez conseillé de le faire tatouer. - Oui, mais c’était une plaisanterie. - Eh bien, maintenant, il a une panthère qui lui mord le cou là où vous avez vu le suçon. Odile reste bouche bée. En moi-même, je décide que je vais m’amuser un peu avec elle, elle va en avoir ...
    ... pour son argent. Je sens une caresse contre mon mollet, son pied remonte jusqu’à ma cuisse, soulevant ma jupe. Elle veut aller plus loin. - Pas plus haut, Odile. Fais-je avec une pointe de cruauté. Son pied se retire. J’ôte une de mes chaussures, et lui caresse la cheville. Et en lot de consolation, je lui abandonne ma main sur la table. - Il vous fouette. Recommence-t ’elle avec curiosité. - Oui, Il me fesse, me fouette avec un martinet ou une cravache. - Mais ça fait mal ? - Avec Pierre, c’est une douleur divine. Quand il me supplicie, il est tendre, attentif, je suis bien, j’ai confiance. - Il vous attache ? - Pas toujours, mais j’adore quand il m’immobilise en croix. Le meilleur moment, c’est quand il me prépare à mon sacrifice, quand il me lie. Et la première cinglée est une délivrance. Et c’est encore meilleur avec le bandeau et le bâillon, quand je sais que je devrais subir jusqu’au bout le supplice que j’ai choisi de lui offrir. - Quelle horreur ! - Mais non, ma chère, c’est délicieux... Quand on est évoluée ! fais-je avec un sous-entendu assassin. Ca y est, je crois que je l’ai bien secouée. Une humidité perle sous son œil, la main posée sur la mienne tremble légèrement. Nous finissons notre repas, et sortons sur le trottoir. - Hélène, mon appartement est au-dessus du magasin. Avez-vous le temps de prendre un thé ? - Oui, d’accord. Elle me prend la main, et m’entraine vers ma première infidélité. A suivre. 
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