1. L'amour au boulot


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail plage, boitenuit, danser, voyage, amour, jalousie, noculotte, Oral pénétratio, amourpass, amourcach,

    ... chose et soupçonne que la gourgandine cherche peut-être à flatter son ego et à savoir si je soupirais déjà pour elle, tandis qu’elle convoitait l’autre « bellâtre » (je n’ai pas envie d’être juste). C’est terrible ! Je suis amoureux, le monde est beau et il faut encore que je salisse tout. Quel sale con je suis, mon ex a raison, je ne suis pas capable d’avoir en tête autre chose que des pensées tordues. — Pas mal de temps. Tu sais, ça se commande pas… et tout à l’heure, tu étais nue sous ta jupette, j’ai explosé, expliqué-je sobrement sans trop me mouiller. Je place volontairement la barre très près du cul, pour éviter de m’enliser dans ce marais fleur bleue dans lequel elle semble vouloir m’embourber. — C’était un paréo, corrige-t-elle, s’animant soudain… et cela t’a émoustillé, persifle-t-elle encore sur un ton sarcastique, raillant une évidence qu’elle connaît déjà, tandis que sa mine s’assombrit. Puis brusquement, la pupille s’illumine à nouveau. La joie remodèle les traits du minois adorable. Son rire éclate clair, franc, léger. Il résonne dans l’habitacle, rebondit sur mes tympans et ragaillardit mon cœur un moment épouvanté. Cette saute d’humeur imprévisible me déroute, mais la suite me trouble encore plus car l’effrontée n’en reste pas là. Un mouvement preste, un geste déterminé et il n’en faut pas plus, le minuscule string glisse sur les escarpins, accroche les longs talons effilés, mais pas plus d’une fraction de seconde, puis le voilà qui pend devant mon nez, ...
    ... suspendu au bout de cet index dont on peut dire qu’il m’est aussi cher que sa propriétaire. — Cadeau ! nargue ironiquement la facétieuse en imprimant une rotation à la manière d’une hélice. La lingerie tournoie un, deux, trois tours puis s’échappe, décolle un peu, retombe et disparaît dans l’ombre à nos pieds, ce qui du reste ne préoccupe pas le moins du monde la maladroite, laquelle se désintéressant de cet accessoire désormais superflu, engage sa main dans une exploration audacieuse pour vérifier la réalité de la manifestation escomptée. Là c’est le bouquet ! La décharge électrique me foudroie sur place. Tout mon être afflue au bout de ma queue pour goûter la caresse. De ce moment, je ne sais plus qui fait quoi ni qui prend les initiatives. Nos langues s’emmêlent, sa poitrine écrase la mienne, ma main s’égare dans des espaces ténébreux, la sienne continue son ouvrage… Je perds la tête, je l’aime, il faut que je lui dise… Pas le temps, un klaxon strident nous ramène sur terre, la voiture tangue à l’atterrissage. Déséquilibrés par l’écart de conduite, nous sommes en vrac, affalés sur la banquette. Christine la première reprend ses esprits et apostrophe le chauffeur. — Pardon señora, mais par la vierge de Guadalupe, j’ai eu plus peur que vous, tousse le gentleman en réponse après qu’il a stoppé le flot de ses imprécations. Pour le coup, le bonhomme devient volubile, raconte sa vie, exorcise sa frousse, conjure le mauvais sort, se signant à tout bout de champ. Si vous cherchez un ...
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