1. L'amour au boulot


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail plage, boitenuit, danser, voyage, amour, jalousie, noculotte, Oral pénétratio, amourpass, amourcach,

    ... ne pas voir, ne pas savoir… J’entraîne ma partenaire. Je suis aveugle mais ma matière grise est en ébullition. Mon esprit transcende la matière, la nature, toutes les barrières et tous les obstacles autant que les écrans les plus opaques, je vois tout malgré tout. Ma tête va exploser. Une Rumba… non, je m’en fous, je refuse… une autre Rumba… la peste soit de cette pute, elle peut crever, je la maudis. J’entends des cris, des rires… une prémonition, je suis persuadé, je sais que c’est elle qui se donne en spectacle… non, pas question… ne pas regarder, je m’en fiche, ce n’est pas mon affaire. Bordel ! Qu’est-ce que je fais là ? Pourquoi je ne fous pas le camp ? La trique, vieux ! Une trique énorme et raide et congestionnée que ça m’en fait mal au bide. Je l’ai dans la peau cette salope, je la veux. Attends qu’elle rapplique, je te vais me la faire puis basta, du balai, tire-toi connasse. Quel traquenard ! Je n’ai pas encore vu d’arnaque mais je vois bien le piège. Bordel de bordel de merde ! Et l’autre Haridelle qui n’arrête pas de frotter son abricot tout sec contre mon bazooka. Elle a même passé la main deux ou trois fois, comme ça subrepticement. La pauvre Inès, elle n’en revient pas et me tourne des yeux énamourés. Sûr quelle croit que j’en pince pour elle. Ah ! Quelle vacherie ! Comment ne pas lui faire de peine ? Après tout, je pourrais aussi bien la tringler, elle est gentille… … Inès et moi partons pour une Salsa quand débarque la furie déchaînée, totalement hors ...
    ... d’elle. La broche a disparu, un sein pointe son téton dans l’entrebâillement du décolleté béant. Ce détail ne préoccupe pas Christine le moins du monde. — Daniel, je veux partir, lâche-t-elle dans un cri strident en s’agrippant à mon bras.— Que t’arrive-t-il ? m’étonné-je en jouant du mieux que je peux un air d’indifférence. Naturellement, je soupçonne à peu près de quoi il retourne, mais mon humiliation est encore trop fraîche et je n’ai pas même un élan de compassion. — J’en ai marre. Viens ! Intime-t-elle un peu choquée par mon flegme apparent et d’autant plus impérative, comme une gamine qui fait un caprice. Mollo, mollo, ma belle ! Merde, on n’est pas des voleurs et puis on a des civilités à faire. C’est terrible ce que je peux être grossier et mal embouché quand je suis contrarié. oooOOOooo Paco ne m’assomme pas plus que ça, mais mon humeur est malgré tout exécrable. Au fond de moi-même, je suis soulagé et heureux d’avoir récupéré Christine, mais dans le même temps une autre partie de moi, plus secrète, plus sombre, plus rancunière vomit la jalousie et fulmine contre cette traînée qui m’a fait vivre l’enfer. Ces deux faces de ma personnalité cohabitent sans que je sache vraiment laquelle va prévaloir parce qu’il suffit d’un rien pour m’attendrir aux larmes ou rouvrir mes blessures. C’est peu dire que la météo de notre relation n’est pas idéale. La donzelle est fine mouche, elle en pressent la raison et n’en fait pas plus qu’il ne faut. Si elle persiste à faire porter le ...
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