1. L'amour au boulot


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail plage, boitenuit, danser, voyage, amour, jalousie, noculotte, Oral pénétratio, amourpass, amourcach,

    ... Mon index, le majeur, l’annulaire et l’auriculaire aussi, toute la troupe joue, agace, pianote et capte les frémissements des muscles au travers du tissu. Je m’ébahis des contractions sympathiques, témoins de bienvenue. Celles-ci deviennent de plus en plus perceptibles à l’approche du pubis. Puis tout m’échappe… Christine disparaît, glisse le long de mon corps. Un autre plaisir vient à la rescousse, plus corsé, plus voluptueux, il monte en intensité en même temps que je pressens le but et devient presque douloureux quand sa bouche enfourne ma turgescence… Ses lèvres s’enfoncent sur la hampe, impriment un rythme… l’incisive, la canine mordillent une extrémité sensible… Ouvrage infernal ! Chaudron de l’enfer ! Ça dure, ça recommence… c’est trop… Arrête, arrête, je t’en prie, je n’en peux plus… Non ! Je fais des efforts inhumains pour ne pas éjaculer… L’explosion contrariée irradie l’exaspération dans mon bas-ventre et pendant quelques instants mon sexe est d’une susceptibilité extrême, presque insupportable. Une pichenette suffirait pour le faire exploser. Fi ! Les turbulences épouvantables. Non ! Je ne flancherai pas. La tension baisse. C’est gagné. Christine se redresse. Son corps ondule, frotte, perfuse une énergie démoniaque. Nos lèvres s’unissent à nouveau. Mes mains reprennent du service, les courbes m’émeuvent, je m’attarde, je mignarde, mais mon obsession est ailleurs, plus bas, féroce et lancinante, nichée dans la fourche des cuisses aimées. Télépathie, empathie. ...
    ... Qu’importe ! Christine partage mon tourment, mais son impatience est plus grande à moins que ce ne soit l’effet de son tempérament. Quoi qu’il en soit, sa main s’empare de la mienne et la guide avec une force irrésistible vers le foyer convoité. Je m’abandonne au maître avec docilité. Dès les premiers abords, mes doigts pataugent dans l’humidité, les cuisses sont trempées, la toison est ruisselante. Les grandes lèvres sont tuméfiées et démesurément enflées, le clitoris gonflé et dressé singe l’érection d’un pénis, la grotte est béante, exhalant une haleine torride dont je sens la chaleur sur ma paume. La vulve avale sans coup férir l’index, le majeur et l’auriculaire et pourrait davantage. L’intérieur du vagin bruisse du clapot des sucs et des jus en ébullition. L’intromission des intrus déclenche encore des cataractes bouillantes et mille autres phénomènes. La femelle ne se contrôle plus, son bassin ondule de plus en plus vite, son corps frémit tout entier et de temps en temps, mue par un spasme plus puissant, la donzelle arque les reins et projette son pubis en avant. À un moment donné Christine m’agrippe et supplie. — Viens tout de suite, bave-t-elle lamentablement d’une voix rauque à peine reconnaissable en se tortillant encore davantage. Bigre ! Je ne suis pas du tout certain d’être seul responsable d’un désir aussi stupéfiant. Je suis même convaincu du contraire. Cette femme que je ne reconnais pas s’écarte un peu de moi et d’un geste irréfléchi autant que précipité, ôte sa ...