L'amour au boulot
Datte: 17/02/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
plage,
boitenuit,
danser,
voyage,
amour,
jalousie,
noculotte,
Oral
pénétratio,
amourpass,
amourcach,
... climat quasi polaire. Nous n’étions pas vraiment amis, il n’y a pas si longtemps. — Merci, j’ai fini, refuse-t-elle en s’allongeant sur son matelas, apparemment indifférente à mes privautés de langage si tant est qu’elle les ait même remarquées. Je me ratatine sur ma paillasse tout en digérant ma déception. Nous rôtissons de concert tantôt de dos, tantôt de face, enfin surtout elle parce que moi j’ai pas mal à faire pour camoufler mes poussées de désir intempestives si bien que je suis bien plus souvent à plat ventre. De temps en temps, je m’échappe pour aller me rafraîchir, mais toujours seul. J’avoue que cela ne laisse pas de m’étonner, cet attrait pour la plage qu’ont certaines femmes alors qu’elles ne mettent pas même un pied dans l’eau. Quant à moi, mes bains fréquents n’y changent rien, je crois que je suis cuit à point, si bien que j’envisage de traiter la daube. Christine me devance. — Mon Dieu ! Tu es tout rouge. Tu veux de la crème ? s’écrie-t-elle en m’offrant ses services. En un éclair, la gazelle bondit à mon côté, son tube à la main, puis me chevauche alors que je suis mi-redressé sur un coude, me plaque au sol face contre terre. J’enregistre les séquences de l’action mais ne réalise pas vraiment la finalité avant d’avoir le fauve sur les reins, car l’assaut tient plus du félin que de l’antilope. La belle se fait chatte pour oindre mon dos, négligemment assise à califourchon, les jolies fesses tantôt posées sur mon cul. Oubliée la brûlure ! Dieu suspend le ...
... temps. Merci Seigneur ! Elle m’a tutoyé. Tant de bonheur d’un seul coup. Je bois du petit lait, et mobilise les radars, les sonars, les lasers et tous mes sens. Mes muscles tressaillent tandis que les mains délicates s’activent, d’abord à la taille puis à droite, puis plus haut, et parfois rebroussent chemin pour recommencer. Une paume experte épouse l’épaule, aborde le bras, et s’égare sous l’aisselle. Hi ! Hi ! — Tu es drôlement chatouilleux, taquine Christine en poursuivant son manège un moment, avant d’aller plus loin. Les doigts badins cheminent vers la nuque, s’affairent de part et d’autre et remontent au niveau des tempes. Pas un coin n’a été omis. Tout est soigneusement enduit, deux fois, trois fois, autant qu’il est nécessaire. Le torse plié à me toucher, l’espiègle approche ses lèvres de mon oreille. Ses tétons caressent mes omoplates. Mon corps tout entier frissonne de la tête aux pieds. — La prochaine fois, réagis avant d’être complètement carbonisé, susurre-t-elle avec malice d’une voix douce comme le miel, avant de rejoindre sa place.— Merci Christine ! Mais je n’en dis pas plus parce que ma gorge est salement nouée, presque autant que mes entrailles. Mon désir est si lancinant qu’il en est douloureux. Et cette foutue érection est passablement encombrante, elle me condamne à l’immobilité parce qu’il me faut la dissimuler. La peste soit de ces tabous hérités d’une éducation désuète. Cette manifestation honteuse n’est pourtant pas tout à fait résorbée quand ma ...