1. Au parc avec un copain d'école


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, jeunes, couleurs, copains, nympho, grossexe, jardin, école, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio,

    ... plaisir avec sa langue tout en farfouillant dans ses poches probablement à la recherche de son portefeuille où devait se trouver un préservatif. Il brassait beaucoup dans son pantalon et je me demandais ce qu’il faisait donc tant. J’étais au-dessus de lui, les yeux fermés sous l’effet du plaisir qu’il me donnait, et je ne voyais donc rien de ce qu’il faisait. C’est quand il me dit : « Viens t’asseoir sur moi. » que j’ai compris qu’il s’était capoté et qu’il était prêt à me baiser comme je le désirais tant. Je descendis mon corps contre le sien pour venir me mettre à genoux au-dessus des ses jambes. Il me caressa un instant le clitoris et les lèvres du bout de son gland capoté. Ne tenant plus, j’enfonçai son pieu dans mon intimité en m’abaissant sur lui. J’étais tellement excitée que son sexe glissa très facilement à l’intérieur de ma cavité humide. En quelques secondes à peine, le voilà qui me possédait totalement et je le sentais buter contre le fond de mon vagin. Son sexe, que je n’avais toujours pas vu de mes propres yeux, me semblait assez volumineux, d’un bon diamètre, et mes lèvres s’en retrouvaient écartelées. C’était divin. Une fois bien empalée sur lui, je m’immobilisai le temps que Francis réajuste ma jupe, de façon à ce que celle-ci cache parfaitement la vue de cette scène érotique à tout voyeur potentiel, puis je me mis à entamer quelques timides mouvements de bassin. J’avais peur que quelqu’un ne passe sur le chemin 20 mètres devant nous (ou plus précisément ...
    ... dans mon dos) et ne nous observe. Mais rien que de savoir qu’une personne puisse nous voir en pleins ébats m’excitait encore plus. Petit à petit, mes timides mouvements de bassin laissaient place à de véritables sauts sur le banc. J’étais folle de désir. Je faisais aller et venir le sexe de Francis à l’intérieur du mien si rapidement qu’il prit son pied presque aussitôt. Il ferma les yeux et, en rejetant sa tête en arrière, il se laissa aller à quelques grognements très significatifs de son état de plaisir. Nous nous offrions là une véritable partie de baise comme j’en rêvais depuis le matin même en cours. Le désir et le plaisir étaient maintenant si forts que nous faisions totalement abstraction de tout ce qui pouvait se passer autour de nous. Peu importe si quelqu’un nous voyait, seule notre passion érotique comptait. Le premier plaisir passé, je me faisais maintenant plus sensuelle dans ma manière de chevaucher mon partenaire. Mes grands sauts sur sa queue laissaient à présent place à des mouvements plus lents et plus amples. Je faisais presque ressortir sa queue de mon sexe pour la reprendre ensuite au plus profond de moi. Je voulais profiter au maximum de chaque mouvement de son sexe dans le mien. Je ne sais pas s’il était très long mais sa grosseur, d’après ce que j’en ressentais, devait être assez impressionnante. Jamais un pénis ne m’a autant comblée. Toutes les bonnes choses ont une fin. J’avais faim de sexe et l’envie de jouir était en moi mais je voulais prendre le ...
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