Au parc avec un copain d'école - Histoires de Sexe

Au parc avec un copain d'école

... temps pour cela. Malheureusement le temps nous manquait et, après réflexion, j’ai décidé d’arrêter là notre étreinte passionnelle. Je voulais profiter de sa large verge, je voulais le prendre dans mes mains et dans ma bouche, je voulais la faire juter sur mon corps mais là, les lieux ne s’y prêtaient guère, à moins de faire preuve d’un exhibitionnisme trop malsain. Je ne voulais cependant pas en rester là et, tout en me retirant de son étreinte, je demandai à Francis : — Tu finis les cours à quelle heure ?— 15 h 15, me dit-il fièrement, devinant peut-être que j’allais lui faire une nouvelle proposition indécente.— Zut, moi je finis à 16 h 15. Tu m’attendras ? On ira chez moi un moment.— Mais j’ai basket à 17 heures aussi… me confia-t-il, presque déçu. Francis devait faire un choix. Préférait-il terminer de me baiser tranquillement chez moi ou préférait-il aller s’amuser avec ses potes ? — Si je ne te vois pas à 16 h 15, tu iras te branler tout seul dans ta piaule, lui dis-je presque méchamment. Ne compte plus sur moi après ça, aussi. Sur ces paroles, Francis débanda aussitôt et je n’eus donc pas le loisir de voir cette verge qui m’avait tant fait du bien. Francis était tout rouge, sûrement un peu honteux de préférer aller s’amuser avec ses copains plutôt qu’avec moi. Il rangea vite son matériel et réajusta ses vêtements à la hâte. Mon sexe était trempé et notre étreinte m’avait rendue ...

... poisseuse jusqu’à mi-cuisses. Pendant que Francis rangeait ses affaires, j’en profitai pour saisir un mouchoir en papier dans mon sac et, après avoir bien regardé si personne ne nous observait de loin, je m’essuyai consciencieusement la vulve et le haut des cuisses. Je me voyais mal arriver en classe les cuisses toutes humides tout en dégageant une forte odeur de sexe… L’heure était déjà très avancée et nous devions partir au plus vite pour retourner au lycée. Je rangeai vite fait mes affaires dans mon sac et nous quittâmes le parc en courant, oubliant volontairement mon string sur le banc de nos ébats. Notre course faisait voler ma jupe au vent, dévoilant très haut la peau nue de mes cuisses. Mon sexe profitait des caresses de l’air pour bien respirer et finir de sécher de toute cette cyprine qui en avait coulé. Nous sommes arrivés quelques minutes en retard en cours. J’avais le visage rougi et j’étais toute transpirante suite à cette course folle pour ne pas arriver en retard en classe. Heureusement pour moi, mon prof a été assez sympa pour ne pas m’envoyer chercher un bulletin de retard et il me laissa m’asseoir sans même me demander le pourquoi de mon retard. Tout l’après-midi, je me languissais d’être déjà à 16 h 15, heure à laquelle j’avais donné rendez-vous à Francis. Allait-il être là à m’attendre ? Allait-il préférer jouer au basket ? J’allai me poser ces deux questions-là tout l’après-midi…