1. La première fille - Chapitre I


    Datte: 19/02/2020, Catégories: f, volupté, Masturbation

    Encore mal réveillée de sa longue et douce nuit, les yeux clos, enfouie sous sa couette, Marie sentait son âme encore un peu à la dérive, voguant dans sa barque nocturne entre rêve et réalité. Pourtant, mille idées fourmillaient déjà dans son cerveau, mais une seule retint suffisamment son attention. C’était samedi matin, et son corps, dont le désir avait été relégué au second plan tout au long d’une semaine prenante, réclamait son lot de caresses. Alors, ses mains partirent à l’assaut de son corps qu’elles connaissaient pourtant si bien. D’abord ses seins, qu’elles caressèrent presque amoureusement. Marie aimait bien sa poitrine. Elle était consciente d’avoir une poitrine de taille moyenne, mais sa fermeté, son contour joliment dessiné et ses aréoles roses assez larges et légèrement granuleuses compensaient de fort belle manière son petit manque de volume. Puis, tandis que sa main gauche s’occupait d’un téton qui durcissait de plus en plus et pointait fièrement vers le ciel, l’autre main délaissa sa caresse mammaire et continua la descente vertigineuse de son corps. Elle glissa sur son ventre, plat et d’une douceur incomparable, façonné, comme d’ailleurs le reste de son corps, par des années de pratique régulière de sports en tous genres, ce qui n’est guère anormal pour une professeur d’EPS. Elle s’attarda quelque peu sur ce ventre encore chaud de la nuit qui s’achevait. Puis elle descendit encore, rencontra une étoffe, bifurqua sur le côté pour retrouver la douceur de la ...
    ... peau, caressa l’intérieur d’une cuisse, en fit le tour, en caressa le dessous, puis remonta… encore ce maudit tissu, obstacle à sa main gourmande. Cette fois-ci, elle ne l’évita pas, parvint à se frayer un passage entre sa petite culotte en coton et sa peau et se saisit à pleine main de sa fesse d’une fermeté rare ; le sport a vraiment des vertus inégalables ! Pendant ce temps, l’autre main n’en finissait pas d’agacer son téton, et commençait à lui arracher ses premiers soupirs. Marie n’avait aucun mal à s’exciter, elle connaissait son corps par coeur. Elle pouvait se faire jouir en quelques minutes à peine si elle le voulait. Mais elle mettait en général beaucoup plus de temps : ces moments étaient trop rares pour ne pas en profiter au maximum. Surtout ne rien brusquer ; elle sait que le temps joue en sa faveur : en plus de prendre plus longtemps du plaisir, sa jouissance n’en sera que plus forte ! La main dévolue à son sein gauche changea de camp, à la recherche d’un autre téton à dresser. Après avoir traversé la vallée de sa poitrine, elle le trouva, et s’employa à le rendre aussi dur et pointu que le premier. Aucune difficulté dans cette mission, ce n’était que de la routine, juste une question de secondes ! Après tant d’années à répéter les mêmes gestes, elle ne se lassait jamais de ce petit jeu et faisait rouler son téton entre ses doigts avec frénésie, constatant avec toujours autant de bonheur que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, et que si son ...
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