1. La première fille - Chapitre I


    Datte: 19/02/2020, Catégories: f, volupté, Masturbation

    ... inéluctable. Après encore quelques minutes à flirter avec l’orgasme, elle succomba à son appel et se jeta enfin à corps perdu dans ses bras si accueillants. Agitant ses doigts avec frénésie, elle eut tôt fait de sentir son corps envahi par une violente vague de plaisir qui la fit s’arc-bouter sur son lit et gémir sans plus aucune retenue. Après quelques secondes où son bassin se tint suspendu à quelques centimètres de son lit… et son esprit en sustentation beaucoup plus haut dans les airs, elle retomba brusquement en poussant un long soupir en forme de plainte jubilatoire. Elle reprit alors peu à peu ses esprits et, toujours les yeux clos, écouta son corps. À l’extérieur, l’apaisement : encore ravagé par cette vague de plaisir, son corps se sentait incapable d’esquisser le moindre geste et de répondre aux sollicitations cérébrales timides de son esprit. Seule sa respiration troublait le silence et l’immobilité de son corps. Sa main gauche était toujours posée contre son pubis et son clitoris ; quant aux deux doigts fureteurs de sa main droite, ils étaient toujours emprisonnés dans son vagin dont les muscles se détendaient cependant lentement. A l’intérieur pourtant, ça bouillonnait et ça s’agitait : son coeur résonnait jusqu’au fin fond de sa ...
    ... chair, le sang coulait à flots jusque dans le moindre minuscule petit vaisseau, ses poumons s’employaient à satisfaire les demandes en oxygène qui affluaient de toutes parts, des tonnes d’hormones grouillaient et s’agitaient en parcourant un chemin dont elles seules connaissaient l’itinéraire, d’abondantes giclées d’endorphines, gage de l’intensité de son orgasme, se diffusaient dans son corps en vue de l’apaiser… Petit à petit, l’esprit reprit cependant le contrôle du corps et l’assujettissement du corps par le cerveau recommença, comme à chaque fois : elle décida de retirer ses doigts de son vagin, alors ses doigts se retirèrent ; elle décida de les sucer une dernière fois, alors ses doigts se dirigèrent vers sa bouche ; elle décida d’écarter son autre main de son sexe devenu trop sensible, alors sa main vint se poser sur son ventre ; elle se sentait bien, comme apaisée, rien ne venait troubler sa béatitude. Cette petite séance du samedi matin était devenue un rituel dont elle ne pouvait plus se passer, même si certains autres jours ressemblaient étrangement à un samedi matin… Pourtant, elle interrompit sa douce rêverie et fila à la salle de bains pour se préparer, avant d’aller déjeuner comme convenu avec Stéphanie, sa meilleure amie… A suivre… 
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