1. La première fille - Chapitre I


    Datte: 19/02/2020, Catégories: f, volupté, Masturbation

    ... téton réagissait positivement à sa caresse, le reste de son corps n’était pas en reste et se tendait lui aussi petit à petit. Pendant ce temps, son autre main retrouva le recto de son corps et vint effleurer son entrejambe à travers sa culotte qu’elle sentait déjà quelque peu humide. Elle ne s’en émut guère : à vingt-six ans passés, cela faisait quelques années déjà qu’elle savait que son sexe ne lésinait pas pour manifester son plaisir en un abondant flot de cyprine. Ses doigts se faisaient plus insistants, sa culotte épousait de plus en plus fidèlement les courbes complexes de son sexe, s’humidifiant encore davantage à chaque pression de sa main. Marie avait de plus en plus chaud ; alors, d’un geste de la jambe bien maîtrisé, elle repoussa la couette qui l’enveloppait jusque-là, et qui retomba au pied de son lit. Elle s’offrit ainsi avec une impudeur totale à la vue de n’importe qui. Pourtant, bien à l’abri dans sa chambre à coucher, elle n’eut pas besoin d’ouvrir les yeux pour savoir que personne ne la regardait. Alors, elle continua ses attouchements mais, lassée de caresser un morceau de coton, même humide, sa main droite plongea sans plus tarder dans la petite culotte. Très vite, elle rencontra au niveau de son pubis quelques poils, rares et très fins, mais ne s’arrêta pas. Elle continua sa plongée enivrante, devina son clitoris bien enflé et déjà très sensible, mais l’ignora pour le moment. Ses doigts dévalèrent les renflements maintenant abondamment mouillés de sa ...
    ... vulve. Le contact du liquide, fruit de son plaisir, la grisa. Ses doigts chatouillèrent avec délicatesse ses fines lèvres lisses et glabres. Elle appréciait de sentir son sexe ainsi dégarni, c’est d’ailleurs uniquement pour savourer ces instants de masturbation solitaire, bien plus que pour satisfaire d’éventuels amants, de toute façon rares ces temps-ci, qu’elle consentait à un entretien aussi régulier. Après quelques caresses sur ses lèvres et le contour de son sexe, elle noya son majeur dans son antre moite et surchauffé. Frisson garanti ! Un gémissement plaintif se perdit dans la pièce. Bien calé au fond de son vagin, le doigt fripon remuait légèrement et grattait les parois de sa prison dorée, électrisant par là-même le corps entier de Marie. La paume de sa main s’appuyait de temps en temps involontairement sur son clitoris, tandis que ses doigts restés libres prenaient appui sur ses lèvres gonflées. Quant à l’autre main, elle semblait nouer avec son téton une complicité à toute épreuve. Marie resta ainsi quelques minutes : tandis que sa main gauche virevoltait d’un sein à l’autre avec toujours autant de virtuosité, son doigt inquisiteur provoquait des coulées de cyprine de plus en plus fortes. Elle se sentait fondre de l’intérieur et elle aimait ça. Une goutte échappée vint chatouiller son anus, elle la sentit doucement couler le long de ses fesses, avant de finir probablement son chemin absorbé par le tissu de sa culotte déjà abondamment inondée. Amusée, elle laissa ...