1. La première fille - Chapitre I


    Datte: 19/02/2020, Catégories: f, volupté, Masturbation

    ... poindre un léger sourire au coin des lèvres. Cette goutte lui donna une envie. Alors, sans plus attendre, elle retira son doigt et le porta à ses lèvres. Ce goût lui était familier, mais elle s’en délectait pourtant avec toujours autant de plaisir. Le fait de sucer et lécher avec lenteur et application son doigt couvert de sa mouille la fit se sentir totalement impudique, et ça l’excita encore plus. En un éclair, elle retira alors sa culotte poisseuse (déjà en sursis…) et la catapulta à travers la chambre, se retrouvant alors totalement nue. Son doigt n’en continua pas moins ses allées et venues entre son sexe et sa bouche pour étancher sa soif soudaine. Elle se dit qu’elle avait de la chance de mouiller autant, car cette dégustation valait bien les petits désagréments que ça pouvait engendrer, lorsque son excitation devenait parfois trop importante en public. C’est aussi dans ces moments de dégustation lubrique que ses envies lesbiennes étaient les plus fortes, que son envie de sexe féminin était la plus pressante, et qu’elle se disait qu’il faudrait bien qu’elle essaye un jour, juste pour voir… Après de longues succions buccales et léchouilles linguales sur son doigt, elle décida de replonger son majeur dans son vagin et de l’y laisser, accompagné cette fois par son acolyte l’index. Ils formaient un duo de premier ordre et elle n’avait jamais eu à se plaindre de leurs services. Cette fois-ci, ses deux doigts imprimèrent quelques mouvements de va-et-vient, comme ...
    ... l’aurait fait un phallus de taille modeste mais cependant tout à fait à son goût. "Ces deux petits doigts de rien du tout me donnent plus de plaisir que certains mecs avec leur grosse bite", se surprit-elle à penser en un sourire et en se remémorant quelques expériences malheureuses. Sans doute lassée de n’avoir que deux tétons à se mettre sous la phalange, sa main gauche, quant à elle, se laissa à son tour glisser le long du corps fiévreux, et se retrouva, après quelques batifolages, au niveau de son entrejambe. Découvrant un autre organe érectile, elle s’en occupa à son tour, bien que celui-ci soit déjà dressé à son maximum. À la première caresse de sa main sur son clitoris, Marie poussa un long soupir de contentement : ça valait la peine de le délaisser pendant de si longues minutes, la fin de cette attente n’en était que plus plaisante et plus libératrice ! Ce premier choc émotionnel passé, le rythme, d’abord lent, se fit de plus en plus insistant : son clitoris était ballotté tous azimuts, tandis que son vagin recevait les assauts de plus en plus rapprochés de ses doigts. Sa respiration était de plus en plus forte et saccadée ; ses gémissements, quoique encore timides, étaient de plus en plus prononcés et rapprochés dans le temps. Sentant monter son excitation, elle ralentit un peu le rythme de ses activités "doigtesques", prit le temps de ressentir et d’apprécier comme il se doit son corps rempli de plaisir, et joua à retarder sa jouissance ultime qu’elle savait pourtant ...