1. 53.6 Retrouver Jérém.


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... mes lèvres ; je le suce avidement, poussé par une seule envie, celle de sentir le jus de sa bogossitude se déverser à grands traits dans ma bouche. J’y vais comme un fou : l’idée de le sucer, alors que l’ivresse fait ressortir ses instincts de mâle en rut, me plaît bien et me donne envie de me surpasser. Pourtant, très rapidement, et en dépit de ma bonne volonté et de mon entrain, sa queue ne semble pas vouloir passer du statut de demi-molle à celui de très très raide, statut dans lequel je l’avais laissée en bas des escaliers une poignée de minutes plus tôt. « Vas-y, fais-moi jouir, putain ! » je l’entends m’ordonner rageusement. Je redouble d’entrain, d’inventivité, je titille ses tétons, je caresse ses boules, je me pousse même à lui faire ce truc avec ma langue sur son ti trou qu’il affectionne tout particulièrement, mais rien n’y fait. J’ai même l’impression, se faisant très vite certitude, qu’il débande. Je le sens frustré, de plus en plus énervé ; je ne veux pas le décevoir, je redoute sa réaction de macho si je n’arrive pas à lui offrir son plaisir de mec. Je le reprends en bouche, il me repousse. Il se branle. La branlette, le plaisir qu’on se fait à soi-même, valeur refuge pour faire réagir un corps qui ne veut pas. Personne ne sait mieux nous offrir notre plaisir que nous-mêmes. C’est un plaisir moins exaltant, car il exclut la part que le désir et le contact de l’autre apporte à notre jouissance, mais un plaisir assuré. Je le regarde se branler longuement : je ...
    ... dois admettre que c’est très excitant de le regarder faire sans pouvoir y toucher. Sa respiration se fait de plus en plus bruyante, je sens qu’il fatigue ; pourtant, sous l’effet de sa main, sa queue semble reprendre de la vigueur. Il se relève brusquement ; mais alors que j’apprête à le reprendre en bouche, ses mains me retournent, je me trouve à plat ventre sur le lit : le bogoss veut changer son « fusil » d’« épaule ». Je l’entends cracher sur ma rondelle et tenter de s’enfoncer à moi en accompagnant sa queue avec sa main ; il essaie, n’y arrive pas, se retire, se branle, revient à la charge, toujours sans succès. Après s’y être repris plusieurs de fois sans succès, il s'arrache de moi. Je le sens frustré et blessé dans son orgueil de mâle, je voudrais trouver les bons mots pour le rassurer, mais je ne sais par où commencer. Il faut dire que jamais je n’aurai imaginé me trouver dans cette situation avec lui, d’habitude si fringuant. Je me prépare à me relever, j’ai envie de le serrer contre moi, de lui montrer que ça n’a aucune importance pour moi, que j’ai juste envie d’être avec lui. Mais avant que j’aie pu faire le moindre mouvement, le bobrun me retourne, se met à califourchon sur mon torse, il enfonce direct sa queue mi-molle dans ma bouche… Il ne s’avoue pas vaincu mon bel étalon… alors, je tente le tout pour tout. Et pendant que je m’affaire pour lui offrir une fellation musclée, je suis étonné de lui voir accomplir ce geste inattendu, un geste qui ne semble pas du ...
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